18.09.2017, 10:11
Dans le rayonnement harmonieux de Quellë,
Le dôme abîmé dans le lointain se dessine ;
Il s'abandonne telle une carcasse ailée
A la mélancolie de sa façade en ruine.
Par le pont j'y pénètre, bercé par les vents
Semblant invité à rejoindre cette transe,
Mais je dois m'arracher à cet envoûtement
Pour savourer ce lieu et goûter son silence.
J'espère y retrouver cet étrange mystère
D'où surgit la colère, en levant mon regard
Vers les piliers de pierre, sur lequel du lierre
Grimpe, pour atténuer, cette image barbare.
Au lieu d'une futile et abondante liesse,
Des crébains font hommage à ce lieu horrifique
De leurs coassements, et enfin je délaisse
Mes inutiles doutes, déchiffrant leur musique.
L'Homme s'est égaré lorsqu'il a érigé
Cette cité tirée de son imaginaire,
Alors que les saisons offrent tant de beautés
Et que de la nature émane la lumière.
Le dôme abîmé dans le lointain se dessine ;
Il s'abandonne telle une carcasse ailée
A la mélancolie de sa façade en ruine.
Par le pont j'y pénètre, bercé par les vents
Semblant invité à rejoindre cette transe,
Mais je dois m'arracher à cet envoûtement
Pour savourer ce lieu et goûter son silence.
J'espère y retrouver cet étrange mystère
D'où surgit la colère, en levant mon regard
Vers les piliers de pierre, sur lequel du lierre
Grimpe, pour atténuer, cette image barbare.
Au lieu d'une futile et abondante liesse,
Des crébains font hommage à ce lieu horrifique
De leurs coassements, et enfin je délaisse
Mes inutiles doutes, déchiffrant leur musique.
L'Homme s'est égaré lorsqu'il a érigé
Cette cité tirée de son imaginaire,
Alors que les saisons offrent tant de beautés
Et que de la nature émane la lumière.