08.09.2017, 11:52
Alors que le soleil commençait à poindre
Et que ses chauds rayons hâlés chauffaient la pièce
Elle ouvrit un œil, m'invitant à la rejoindre
Voulant goûter à nouveau toute ma hardiesse.
Par la fenêtre ouverte donnant sur le nord
Je pouvais voir la montagne solitaire
Où jadis, un dragon gardant son trésor
Fut terrassé dans une lutte salutaire.
Un drap de lin lui couvrait à peine le corps,
Laissant deviner ses courbes et sa silhouette,
Tel un linceul liliale vêtant un mort
Après un combat sensuelle aux sons des marouettes.
Les esquisses divine d’infinies splendeurs
D'un souffle ardent sur une nuque frémissante,
Une larme sur sa joue, dicté par le cœur,
Nous firent chavirer en danse lancinante.
Et que ses chauds rayons hâlés chauffaient la pièce
Elle ouvrit un œil, m'invitant à la rejoindre
Voulant goûter à nouveau toute ma hardiesse.
Par la fenêtre ouverte donnant sur le nord
Je pouvais voir la montagne solitaire
Où jadis, un dragon gardant son trésor
Fut terrassé dans une lutte salutaire.
Un drap de lin lui couvrait à peine le corps,
Laissant deviner ses courbes et sa silhouette,
Tel un linceul liliale vêtant un mort
Après un combat sensuelle aux sons des marouettes.
Les esquisses divine d’infinies splendeurs
D'un souffle ardent sur une nuque frémissante,
Une larme sur sa joue, dicté par le cœur,
Nous firent chavirer en danse lancinante.