Merci beaucoup Chiara Cadrich pour ce commentaire et toutes ces pistes !
En partie oui, mais j'avoue l'avoir choisi un peu par hasard suite à la consultation d'un arbre généalogique (https://fr.wikipedia.org/wiki/Faramir).
Tout à fait d'accord pour les deux manières de s'inspirer et interpréter les textes de Tolkien. Ici, je suis parti de l'image d'un cavalier qui parcourait une plaine cernée de montagne (qui était dans ma tête^^). Une fois que j'ai écrit cette phrase, je me suis posé la question de qui etait ce cavalier et qu'allait-il faire ? C'est comme cela que s'est produite cette histoire. Comme j'avais pris le nom d'Elboron pour le cavalier et que je savais qu'il provenait de l'Ithilien et je me suis donc renseigné sur ce qu'était l'Ithilien plus précisément. Il faut trouver le juste milieu entre le fait de laisser libre-cours à son imagination et "l'orthodoxie tolkienienne" selon ses motivations. Ecrire dans cet univers est aussi l'occasion de se plonger dans l'histoire de la terre du milieu.
J'ai hésité à prendre des orientaux mais ignorant pourquoi ils avaient rejoint Sauron, j'ai préféré des numénoréens qui avaient un lien avec les numénoréens noirs qui eux-mêmes avaient été persécutés par les habitants du Gondor. Ils avaient par conséquent rejoints les rangs des ennemis du Gondor.
Elboron est le fils de Faramir dans le récit (https://fr.wikipedia.org/wiki/Faramir), voir l'arbre généalogique. Quand je dis qu'il vient du confins du royaume, c'est lors de son voyage à cheval, je me suis mal exprimé. Le fait que le roi du gondor ai son mot à dire m'a complétement échappé, cela peut effet créé des développements très intéressants dans l'histoire !
J'avais inventé un nom au départ pour Almiel mais cela dénotait trop donc je suis allé en trouver un dans les prénom numénoréens. Cette piste des langues peut également mener à une suite intéressante.
Merci d'avoir lu le texte avec autant d'attention. J'apprécie de lire tes textes également, tu as l'air d'avoir une grande culture sur l'histoire de la terre du milieu.
Citation : Le fait que ton pseudonyme coïncide avec le nom de ton héros révèle-t-il un besoin d'immersion dans le légendaire tolkiennien ?
En partie oui, mais j'avoue l'avoir choisi un peu par hasard suite à la consultation d'un arbre généalogique (https://fr.wikipedia.org/wiki/Faramir).
Citation :Tu sembles préoccupé par la cohérence. Bien sûr, il y a aura toujours les tenants de l'"orthodoxie tolkiennienne" et ceux d'une liberté d'interprétation élargie.
Tout à fait d'accord pour les deux manières de s'inspirer et interpréter les textes de Tolkien. Ici, je suis parti de l'image d'un cavalier qui parcourait une plaine cernée de montagne (qui était dans ma tête^^). Une fois que j'ai écrit cette phrase, je me suis posé la question de qui etait ce cavalier et qu'allait-il faire ? C'est comme cela que s'est produite cette histoire. Comme j'avais pris le nom d'Elboron pour le cavalier et que je savais qu'il provenait de l'Ithilien et je me suis donc renseigné sur ce qu'était l'Ithilien plus précisément. Il faut trouver le juste milieu entre le fait de laisser libre-cours à son imagination et "l'orthodoxie tolkienienne" selon ses motivations. Ecrire dans cet univers est aussi l'occasion de se plonger dans l'histoire de la terre du milieu.
Citation :Par exemple, sur le plan ethnographique, on peut imaginer que les habitants des montagnes de l'ombre étaient cousins de ceux des montagnes blanches, les Daen. On peut aussi imaginer des mélanges avec les populations du Harad, pour donner une culture de montagnards méridionale. Dans notre monde réel, on pourrait prendre comme modèle les Samnites, bergers adversaires des romains, qui attaquaient les cultures du latium depuis leurs villages fortifiées des appenins. Mais la question à résoudre est de définir dans quelle mesure ce peuple a été soumis aux cultes sombres de Sauron, et ce qu'il en reste...
J'ai hésité à prendre des orientaux mais ignorant pourquoi ils avaient rejoint Sauron, j'ai préféré des numénoréens qui avaient un lien avec les numénoréens noirs qui eux-mêmes avaient été persécutés par les habitants du Gondor. Ils avaient par conséquent rejoints les rangs des ennemis du Gondor.
Citation : Autre approche de cohérence : sur le plan politique. Elboron serait Faramir ou son fils, donc Prince d'Ithilien. Soit la plus haute dignité dans le royaume de Gondor après le Roi lui-même, au même titre que le Prince de Dol Amroth. Or tu indiques qu'Elboron vient des confins du royaume. Lequel ? Le "sien", mais ce n'est pas un royaume indépendant ? Ou le Gondor tout entier, et dans ce cas que faisait-il hors de sa principauté ? En tout cas un mariage princier avec un peuple limitrophe ne saurait laisser indifférent le Roi du Gondor, qui estime peut-être avoir son mot à dire ?
Elboron est le fils de Faramir dans le récit (https://fr.wikipedia.org/wiki/Faramir), voir l'arbre généalogique. Quand je dis qu'il vient du confins du royaume, c'est lors de son voyage à cheval, je me suis mal exprimé. Le fait que le roi du gondor ai son mot à dire m'a complétement échappé, cela peut effet créé des développements très intéressants dans l'histoire !
Citation : Autre piste : sur le plan linguistique. La princesse semble avoir un nom à consonance Sindarin (Almiel fille de Tar-Menel - le "Haut Ciel"), ce qui indiquerait un patronyme gondorien. Et donc un mariage dans une génération antérieure, entre des dunedain et des montagnards ? Ce précédent peut (doit ?) être exploité, d'autant que tu mentionnes Beruthiel de triste mémoire (et même de mémoire éradiquée dans les annales royales).
J'avais inventé un nom au départ pour Almiel mais cela dénotait trop donc je suis allé en trouver un dans les prénom numénoréens. Cette piste des langues peut également mener à une suite intéressante.
Merci d'avoir lu le texte avec autant d'attention. J'apprécie de lire tes textes également, tu as l'air d'avoir une grande culture sur l'histoire de la terre du milieu.