17.01.2017, 00:11
Ô ma belle ingénue, autochtone d'Amroth,
Après la traversée de bien des paysages
Te voilà, après qu'on a croisé nos sillages
En face de moi, nue en ce lieu, Esgaroth.
Viens donc à mes côtés, rejoins moi sur la couche
Affriolante de nos âmes détenues ;
Viens, laissons nous aller sans nulle contenue
Avec avidité que je te prenne en bouche.
Creuset de nonchalance que parcoure l'amour
Oubliant la piété et quelque retenue,
Offre-moi ta vertu, ta chair toute nue
Afin que soit vêtu ton corps d'un bel atour.
Osons plus d'audace, aimons-nous tour à tour ;
Tes gémissements, tes râles se mêlent aux clapotis
Sous le rythme des vagues léchant les pilotis.
Et baisons-nous sans peur jusqu’au levé du jour.
Après la traversée de bien des paysages
Te voilà, après qu'on a croisé nos sillages
En face de moi, nue en ce lieu, Esgaroth.
Viens donc à mes côtés, rejoins moi sur la couche
Affriolante de nos âmes détenues ;
Viens, laissons nous aller sans nulle contenue
Avec avidité que je te prenne en bouche.
Creuset de nonchalance que parcoure l'amour
Oubliant la piété et quelque retenue,
Offre-moi ta vertu, ta chair toute nue
Afin que soit vêtu ton corps d'un bel atour.
Osons plus d'audace, aimons-nous tour à tour ;
Tes gémissements, tes râles se mêlent aux clapotis
Sous le rythme des vagues léchant les pilotis.
Et baisons-nous sans peur jusqu’au levé du jour.