14.07.2016, 14:07
Le Guardian en parle aujourd'hui : https://www.theguardian.com/books/2016/j...-the-rings
L'article cite Verlyn Flieger. Selon elle, le conte est "sombre, puissant et captivant ; un écart important d'avec le Tolkien que nous pensons connaître." Il est dérivé "d'un type de conte folklorique bien connu où un humain erre dans la Faërie et en paie le prix, comme les ballades de Tam Lin et Thomas Rhymer.". Il y avait plusieurs raisons à voir publier ce texte : "d'abord, c'est un bel exemple de la puissance poétique de Tolkien et de son habileté à maîtriser différentes formes de poésie - dans ce cas, les vers octosyllabiques des romances françaises, qui utilisa aussi dans le Lai de Leithian, dans son légendaire." Ensuite, il montre l'intérêt qu'avait Tolkien pour "le paganisme et le côté sombre de ce qu'il appelait la Faërie, le royaume périlleux ou l'Autre-monde de l'enchantement." Enfin, c'est l'occasion pour le lecteur de découvrir "son exemple le plus développé de cet archétype folklorique que j’appellerais la Sombre Dame, la belle mais malveillante fée qui s'en prend aux humains et qui, ainsi, présage de sa Guenièvre, décrite comme 'belle, ainsi femme-fée, qui marche dans le monde pour le malheur des hommes.'".
Il est aussi confirmé la présence de plusieurs poèmes annexes sur la Corrigan.
L'article cite Verlyn Flieger. Selon elle, le conte est "sombre, puissant et captivant ; un écart important d'avec le Tolkien que nous pensons connaître." Il est dérivé "d'un type de conte folklorique bien connu où un humain erre dans la Faërie et en paie le prix, comme les ballades de Tam Lin et Thomas Rhymer.". Il y avait plusieurs raisons à voir publier ce texte : "d'abord, c'est un bel exemple de la puissance poétique de Tolkien et de son habileté à maîtriser différentes formes de poésie - dans ce cas, les vers octosyllabiques des romances françaises, qui utilisa aussi dans le Lai de Leithian, dans son légendaire." Ensuite, il montre l'intérêt qu'avait Tolkien pour "le paganisme et le côté sombre de ce qu'il appelait la Faërie, le royaume périlleux ou l'Autre-monde de l'enchantement." Enfin, c'est l'occasion pour le lecteur de découvrir "son exemple le plus développé de cet archétype folklorique que j’appellerais la Sombre Dame, la belle mais malveillante fée qui s'en prend aux humains et qui, ainsi, présage de sa Guenièvre, décrite comme 'belle, ainsi femme-fée, qui marche dans le monde pour le malheur des hommes.'".
Il est aussi confirmé la présence de plusieurs poèmes annexes sur la Corrigan.
What's the point of all this pedantry if you can't get a detail like this right?