29.12.2014, 15:30
Merci pour vos réponses, c'est vrai que ça parait plus clair comme ça ; en somme, la sobriété n'est pas dans le fond mais dans la forme. Et quand je parlais d'épique dans la Völsunga, effectivement ce n'est pas du pur registre épique, surtout comparé à d'autres œuvres ! Je comprends mieux lorsqu'il dit que ça l'est très rarement, car j'avais au départ l'impression qu'il montrait les sagas comme étant réalistes et n'ayant même pas un petit côté épique, alors que je lisais une histoire où un héros combattait un Dragon et où les personnages principaux rivalisaient en bravoure, honneur et gloire ("surpassant la plupart des autres hommes en tous accomplissements", etc...). Mais il est vrai que le côté épique est bien moins présent sur la forme.
Je pense que la compréhension aurait été bien meilleure si j'avais réfléchi à cette question après avoir également lu les Eddas et la Chanson de Roland, mais ce n'est pas l'envie qui me manque (et la difficulté ne me rebute pas) : c'est le temps ! Peut-être dans quelques années... (Amusant, je me souviens avoir dit ça il y a 5 ans déjà)
Je pense que la compréhension aurait été bien meilleure si j'avais réfléchi à cette question après avoir également lu les Eddas et la Chanson de Roland, mais ce n'est pas l'envie qui me manque (et la difficulté ne me rebute pas) : c'est le temps ! Peut-être dans quelques années... (Amusant, je me souviens avoir dit ça il y a 5 ans déjà)
"Faithless is he that says farewell when the road darkens"