Concernant l'espéranto, je comprends bien mieux son inclusion comme intérêt linguistique que comme inspiration. Pour être honnête, je ne me souvenais que de sa mention favorable au début d'Un vice secret, de la note plus critique ajoutée par CJRT et du commentaire beaucoup plus défavorable dans la Lettre 180. Mais je viens de rafraîchir mes connaissances auprès de ce message de blog, qui confirme qu'il y a plus dedans d'une mention en passant.
Pour le grec, vous connaissez peut-être l'essai de Daniel Andreou, mais il est assez mauvais. Il traite quasi exclusivement du grec moderne et ses comparaisons sont globalement peu convaincantes, car il ne montre assez pas en quoi il s'agit d'analogies spécifiques entre le grec et le quenya, plutôt que de simples ressemblances typologiques. Ce serait à Didier qu'il faudrait demander pareil article !
Pour le grec, vous connaissez peut-être l'essai de Daniel Andreou, mais il est assez mauvais. Il traite quasi exclusivement du grec moderne et ses comparaisons sont globalement peu convaincantes, car il ne montre assez pas en quoi il s'agit d'analogies spécifiques entre le grec et le quenya, plutôt que de simples ressemblances typologiques. Ce serait à Didier qu'il faudrait demander pareil article !
Le langage a à la fois renforcé l'imagination et a été libéré par elle. Qui saura dire si l'adjectif libre a créé des images belles et bizarres ou si l'adjectif a été libéré par de belles et étranges images de l'esprit ? - J. R. R. Tolkien, Un vice secret