Bonjour,
Me baladant au travers de l'Encyclopédie, je croise la route de l'article consacré aux Huorns. Tout d'abord, je me demande si ce pluriel est bien attesté. Le mot semble provenir de l'entique abrégé, lui-même vraisemblablement issu des langues elfiques (lorenindorenan et d'autres mots des discours de Sylebarbe l'attestent de même que le rôle joué par les Elfes dans l'"éducation" à la parole des Ents). Le pluriel en "s" donné dans l'Encyclopédie m'étonne donc.
Ensuite puisque les Ents sont les "bergers des arbres" ne peut-il être possible que les Huorns (et alors on parlerait peut-être de Huyrn) n'en soient les chiens de protection? Cela correspondrait à leur caractère imprévisible, leur dangerosité et serait soutenu par une idée linguistique.
Qu'en pensez-vous?
Me baladant au travers de l'Encyclopédie, je croise la route de l'article consacré aux Huorns. Tout d'abord, je me demande si ce pluriel est bien attesté. Le mot semble provenir de l'entique abrégé, lui-même vraisemblablement issu des langues elfiques (lorenindorenan et d'autres mots des discours de Sylebarbe l'attestent de même que le rôle joué par les Elfes dans l'"éducation" à la parole des Ents). Le pluriel en "s" donné dans l'Encyclopédie m'étonne donc.
Ensuite puisque les Ents sont les "bergers des arbres" ne peut-il être possible que les Huorns (et alors on parlerait peut-être de Huyrn) n'en soient les chiens de protection? Cela correspondrait à leur caractère imprévisible, leur dangerosité et serait soutenu par une idée linguistique.
Qu'en pensez-vous?
Dorées les feuilles tombent, mais le rêve se poursuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit
Là où l'espoir demeure, les eaux chantent sous la nuit