15.02.2014, 17:42
Bonjour Dominique,
J'ai envie de répondre à cette vision toute particulière de Jacques Gauthier, (dont je ne porte aussi aucun jugement négatif, sachant que Tolkien était un fervent catholique pratiquant) par une autre voie chère à Tolkien: que le Hobbit et le S.d.A démontrent d'abord que la plus petite personne au monde, si elle doit soulever des montagnes, le peut totalement, mais que seul, elle n'y arrivera peut-être pas. Frodo a eu besoin de Sam pour détruire l'Anneau Unique. Seul, il n'y serait pas arrivé !
Autre phénomène extraordinaire dans le vie du jeune J.R.R.Tolkien: Il y a un poème religieux intitulé Christ et traitant de la vie du Christ, attribué à l'auteur anglo-saxon Cynewulf, que Tolkien avait lu à Exeter, qui lui a inspiré le tout premier de ses personnages à savoir: Eärendil, un personnage d'une extrême importance dans sa grande mythologie.
Earendel le plus brillant des anges est devenu Eärendil, la plus brillante des étoiles, chez Tolkien.
Cordialement,
Ingieris
J'ai envie de répondre à cette vision toute particulière de Jacques Gauthier, (dont je ne porte aussi aucun jugement négatif, sachant que Tolkien était un fervent catholique pratiquant) par une autre voie chère à Tolkien: que le Hobbit et le S.d.A démontrent d'abord que la plus petite personne au monde, si elle doit soulever des montagnes, le peut totalement, mais que seul, elle n'y arrivera peut-être pas. Frodo a eu besoin de Sam pour détruire l'Anneau Unique. Seul, il n'y serait pas arrivé !
Autre phénomène extraordinaire dans le vie du jeune J.R.R.Tolkien: Il y a un poème religieux intitulé Christ et traitant de la vie du Christ, attribué à l'auteur anglo-saxon Cynewulf, que Tolkien avait lu à Exeter, qui lui a inspiré le tout premier de ses personnages à savoir: Eärendil, un personnage d'une extrême importance dans sa grande mythologie.
Earendel le plus brillant des anges est devenu Eärendil, la plus brillante des étoiles, chez Tolkien.
Cordialement,
Ingieris
L'esprit devient ce qu'en font les pensées, car les pensées de quelqu'un déteignent sur son âme. Marc-Aurèle (121-180)