24.04.2013, 18:43
Je pense qu'il y a deux choses dans la création d'Eru:
1: Moi aussi je crois que le plan d'Eru peut-être assimilé au Bien absolu. Tolkien l'a dit. Eru a créé les Ainur
et il leur donne la musique pour exprimer leur reconnaissance, leur amour envers lui. Cependant, les Ainur ne doivent pas aller au delà, et créer leurs propres thèmes musicaux. C'est Eru qui invente les thèmes musicaux: il est le compositeur et eux sont les interprètes, et par leur interprétation, ils créent de la beauté et Arda.
Mais voilà que...
2: Morgoth, le plus puissant des Ainur, veut créer sa propre musique et c'est à partir de là que le bas blesse.
C'est ici je pense que le libre arbitre et la conception de la corruption entrent en jeu. Pourquoi Morgoth a-t-il voulu créer ses propres thèmes? Il voulait dominer le monde... Oui, mais...
Pouvons-nous y répondre avec certitude? N'est-ce pas là une des plus grandes questions de la métaphysique, qui reste un mystère auquel je ne peux trouver la vraie explication.
1: Moi aussi je crois que le plan d'Eru peut-être assimilé au Bien absolu. Tolkien l'a dit. Eru a créé les Ainur
et il leur donne la musique pour exprimer leur reconnaissance, leur amour envers lui. Cependant, les Ainur ne doivent pas aller au delà, et créer leurs propres thèmes musicaux. C'est Eru qui invente les thèmes musicaux: il est le compositeur et eux sont les interprètes, et par leur interprétation, ils créent de la beauté et Arda.
Mais voilà que...
2: Morgoth, le plus puissant des Ainur, veut créer sa propre musique et c'est à partir de là que le bas blesse.
C'est ici je pense que le libre arbitre et la conception de la corruption entrent en jeu. Pourquoi Morgoth a-t-il voulu créer ses propres thèmes? Il voulait dominer le monde... Oui, mais...
Pouvons-nous y répondre avec certitude? N'est-ce pas là une des plus grandes questions de la métaphysique, qui reste un mystère auquel je ne peux trouver la vraie explication.
L'esprit devient ce qu'en font les pensées, car les pensées de quelqu'un déteignent sur son âme. Marc-Aurèle (121-180)