18.04.2013, 07:22
(17.04.2013, 22:48)Peredhil a écrit :(17.04.2013, 17:48)Elendil a écrit : Si, la liste complète est beaucoup plus détaillée, mais je ne peux pas la reproduire in extenso ici.Problème de droits d'auteurs ou de longueur ?
Droits d'auteur, évidemment.
(17.04.2013, 22:48)Peredhil a écrit : Mais les géants de pierre cadrent-ils avec la mythologie tardive (un peu comme les corbeaux parlants plus hauts, Tolkien a dû "faire-avec" et a délibérément choisir de les retirer du Sda) ? J'aimais bien l'explication selon laquelle ils sont une simple exagération de la part de Bilbo des effets de la tempête et de l'orage.
Dans le SdA, on a bien une montagne dotée d'une volonté, le Caradhras. Sans compter les Veilleurs à l'entrée de Cirith Ungol. Pas les mêmes créatures que dans le Hobbit, certes, mais pas forcément mpoins étranges pour autant.
(17.04.2013, 22:48)Peredhil a écrit : Même si j'approuve ton commentaire sur les "Maiar-fourre-tout" encore une fois on entend pas parler de "fées" dans la Mythologie tardive...
En tout cas, on en parle dans le chapitre 1 du Hobbit, même si c'est à l'état de légende :
Tolkien a écrit :It was often said (in other families) that long ago one of the Took ancestors must have taken a fairy wife.
(17.04.2013, 22:48)Peredhil a écrit : A part si on considère qu'elle ne fait qu'englober les serviteurs de Morgoth je ne vois pas en quoi c'est une classification valable. On a des Enfants d'Eru corrompus d'un coté, des Maiar félons et des animaux ou des êtres minéraux "possédés". Où est le point commun de nature ?
Le point commun ? Ce sont des créatures perverties par Morgoth et donc non conformes à l'ordre naturel des choses. Il me semble que l'intention de Tolkien est très claire, quand bien même on ne serait pas d'accord avec celle-ci.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland