06.03.2011, 16:59
J'avais lu cet essai il y a trois ans et je l'avais beaucoup aimé. Evidemment, il a fallu que je le relise et il est toujours aussi intéressant, bravo à toi Turambar
!!!
Bien que l'histoire de Turin et celle de Tuor prennent beaucoup de place dans le Silmarillion, je n'ai jamais réussi à m'y intéresser autant qu' à l'Ainulindalë ou au Lai de Leithan par exemple.
Lorsque j'ai lu le Silm, Turin m'apparaissait comme un humain un peu stupide et qui fait tout pour échapper à sa malédiction... tout en se jetant dans la gueule du loup.
Pour Tuor, je trouvai qu' il ne faisait pas grand chose et n'était important qu'en tant que père d' Eärendil.
C'est pourquoi j'ai adoré cet essai qui m'a complètement ouvert les yeux, sinon sur le personnage de Turin ( je l'avoue, j'ai toujours aussi peu d'intêret pour lui
) au moins sur celui de Tuor.
Je n'aurai jamais pensé qu'il y avait une aussi grande signification dans l'histoire des deux cousins ! Le point de vue de leur choix à la fontaine d'Ivrin est très bien trouvé.
Cependant, il me reste quelques questions :
- pourquoi, alors qu'il est maudit, Turin choisit il une épée maudite ?
- "Ainsi pour la première fois furent réunies en justes noces un enfant des Hommes et une fille d'Elfinesse" . Pourquoi Beren et Luthien ne sont ils pas considérés comme un "juste mariage" ?
- Au quatrième paragraphe des Interprétations, que signifie la phrase " (celle des enfants directs du Hurin et Huor)" ?
Sinon je ferai juste remarquer que Morgoth s'acharne bien plus sur Hurin et Turin que sur l'autre lignée. Tuor est toujours protégé par Ulmo et Turgon veille plus sur lui que Thingol ne veille sur Turin.
Le destin marque les deux familles mais pas de la même manière : l'un est protégé et vit avec des elfes tandis que l'autre est maudit et éternellement vagabond.
Si Hurin et Huor sont égaux, ce n'est pas le cas dès le début pour Turin et Tuor.
Quoi qu'il en soit, bravo Turambar pour ce très bel essai qui met bien en valeur l'influence de ces deux lignées sur la Terre du Milieu !

Bien que l'histoire de Turin et celle de Tuor prennent beaucoup de place dans le Silmarillion, je n'ai jamais réussi à m'y intéresser autant qu' à l'Ainulindalë ou au Lai de Leithan par exemple.
Lorsque j'ai lu le Silm, Turin m'apparaissait comme un humain un peu stupide et qui fait tout pour échapper à sa malédiction... tout en se jetant dans la gueule du loup.
Pour Tuor, je trouvai qu' il ne faisait pas grand chose et n'était important qu'en tant que père d' Eärendil.
C'est pourquoi j'ai adoré cet essai qui m'a complètement ouvert les yeux, sinon sur le personnage de Turin ( je l'avoue, j'ai toujours aussi peu d'intêret pour lui

Je n'aurai jamais pensé qu'il y avait une aussi grande signification dans l'histoire des deux cousins ! Le point de vue de leur choix à la fontaine d'Ivrin est très bien trouvé.
Cependant, il me reste quelques questions :
- pourquoi, alors qu'il est maudit, Turin choisit il une épée maudite ?
- "Ainsi pour la première fois furent réunies en justes noces un enfant des Hommes et une fille d'Elfinesse" . Pourquoi Beren et Luthien ne sont ils pas considérés comme un "juste mariage" ?
- Au quatrième paragraphe des Interprétations, que signifie la phrase " (celle des enfants directs du Hurin et Huor)" ?
Sinon je ferai juste remarquer que Morgoth s'acharne bien plus sur Hurin et Turin que sur l'autre lignée. Tuor est toujours protégé par Ulmo et Turgon veille plus sur lui que Thingol ne veille sur Turin.
Le destin marque les deux familles mais pas de la même manière : l'un est protégé et vit avec des elfes tandis que l'autre est maudit et éternellement vagabond.
Si Hurin et Huor sont égaux, ce n'est pas le cas dès le début pour Turin et Tuor.
Quoi qu'il en soit, bravo Turambar pour ce très bel essai qui met bien en valeur l'influence de ces deux lignées sur la Terre du Milieu !
Aurë entuluyva !
Le jour reviendra !
Le jour reviendra !