Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
En tant que porteur de l'Anneau
Il dû faire les choix les plus dur
Là où échoua Isildur
Que fut si frêle qu'un moineau.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
C'est en fidèle compagnon
Qu'il lui sauva souvent la vie
Suivant la voie de la raison
Quand l'Anneau l'a asservi.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
Ce troisième est un fumeur d'herbe.
Guidant les arbres en Isengard
Aidant un intendant acerbe
Le voyant d'un autre regard.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
Ce pourfendeur de Nazgûl
Finissant ce groupe de quatre
Sachant faire rire les foules
En nous contant ça près de l'âtre.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
J'ai imaginé ce texte comme une comptine créée par des enfants à l'imagination débordante (d'où son lot d'exagération et de propos diffamant) comme l'on été écrite certaines comptines populaires narrant des faits historiques. Les faits relatés dans cette comptine semblent bien antérieures à la création de celle-ci et malheureusement, aucun de ses protagonistes ne semble être encore de ce monde pour corriger ces erreurs alors que les enfants la chantonnent en jouant.
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
En tant que porteur de l'Anneau
Il dû faire les choix les plus dur
Là où échoua Isildur
Que fut si frêle qu'un moineau.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
C'est en fidèle compagnon
Qu'il lui sauva souvent la vie
Suivant la voie de la raison
Quand l'Anneau l'a asservi.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
Ce troisième est un fumeur d'herbe.
Guidant les arbres en Isengard
Aidant un intendant acerbe
Le voyant d'un autre regard.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
Ce pourfendeur de Nazgûl
Finissant ce groupe de quatre
Sachant faire rire les foules
En nous contant ça près de l'âtre.
Un, deux, trois quatre
Les voilà de retour
Un, deux, trois, quatre
Enfin à Hobbitbourg.
J'ai imaginé ce texte comme une comptine créée par des enfants à l'imagination débordante (d'où son lot d'exagération et de propos diffamant) comme l'on été écrite certaines comptines populaires narrant des faits historiques. Les faits relatés dans cette comptine semblent bien antérieures à la création de celle-ci et malheureusement, aucun de ses protagonistes ne semble être encore de ce monde pour corriger ces erreurs alors que les enfants la chantonnent en jouant.