Sans aucune colère, loin des desseins funestes,
Les regards croisés et l'esprit grand ouvert,
S'aimer l'un et l'autre dans chacun de nos gestes,
Des printemps verdoyants jusqu'au plus durs hivers.
Sans aucune rancoeur et loin de la colère,
Les lèvres ne disant que des choses amoureuses,
S'aimer l'un et l'autre, voguer sur la rivière
De nos flots conjugués sur des rives boueuses.
Sans aucun mensonge qui fait couler les larmes,
Ma douce ami Lúthien, notre amour éternel,
S'aimer l'un et l'autre, nos coeurs pour seules armes,
Je le clame malgré les courroux paternels.
Les regards croisés et l'esprit grand ouvert,
S'aimer l'un et l'autre dans chacun de nos gestes,
Des printemps verdoyants jusqu'au plus durs hivers.
Sans aucune rancoeur et loin de la colère,
Les lèvres ne disant que des choses amoureuses,
S'aimer l'un et l'autre, voguer sur la rivière
De nos flots conjugués sur des rives boueuses.
Sans aucun mensonge qui fait couler les larmes,
Ma douce ami Lúthien, notre amour éternel,
S'aimer l'un et l'autre, nos coeurs pour seules armes,
Je le clame malgré les courroux paternels.