Oui, dans pareilles circonstances, il doit être quelque part rassurant de se dire que l'on n'est pas uniquement le "jouet" d'un surpuissant anneau maléfique et de son sombre maître. Le fait de se dire que l'anneau ne contrôle pas tous les événements, qu'il y a une part de chance ou de destinée hors de contrôle, permet d'espérer une fin plus heureuse que le désespoir laisse entrevoir.
Gandalf a toujours cru en un grand potentiel présent chez certains Hobbits : que ce soit le courage, la résistance (à la corruption et en général), la fidélité aux amis, etc.
Ce n'est pas pour rien qu'il s'intéresse autant à la Comté et aux Hobbits alors que tout le monde (Saroumane le premier) ne les voit que comme des êtres sans importance, sans intérêt et n'ayant rien de déterminant dans les importants événements à venir (sauf erreur de ma part).
Combien de fois, en parlant de Bilbo ou de Frodo, Gandalf dit "Il y a plus en ce Hobbit qu'il n'y parait".
Parfois l'auteur fait aussi des remarques du genre que les plus petits sont parfois bien utiles, si je ne dis pas de bêtise.
Huan a écrit :... à la même volonté qui a fait que Gandalf choisisse Bilbo pour accompagner les Nains ?
Gandalf a toujours cru en un grand potentiel présent chez certains Hobbits : que ce soit le courage, la résistance (à la corruption et en général), la fidélité aux amis, etc.
Ce n'est pas pour rien qu'il s'intéresse autant à la Comté et aux Hobbits alors que tout le monde (Saroumane le premier) ne les voit que comme des êtres sans importance, sans intérêt et n'ayant rien de déterminant dans les importants événements à venir (sauf erreur de ma part).
Combien de fois, en parlant de Bilbo ou de Frodo, Gandalf dit "Il y a plus en ce Hobbit qu'il n'y parait".
Parfois l'auteur fait aussi des remarques du genre que les plus petits sont parfois bien utiles, si je ne dis pas de bêtise.