14.07.2004, 01:19
Paraît-il quil faut que je revoyes ma copie : soit, voiçi l'incipit pour ceux qui ont besoin d'un peu plus de détails... LA SUITE SUIVRA... Mais je n'ais pas que cela à faire.
L'Histoire de Naghiah
Un soir au coin dun feu de cheminée bien entamée dont les braises commençaient à assécher la belle bûche de son jardin, Perceval Took, un excentrique dans cette famille, (sil on eut peut dire quil en existe un que lon puisse mettre à part, sans dégager soudain un mouvement de jalousie déchaînant un feu dartifices incontrôlé de bizarreries, l un de ce clan qui soit plus étrange quun autre pour un hobbit), sirotait une tasse de thé et quelques friandises, tout en racontant une histoire ancienne à ses enfants.
« ...Dans une caverne sombre et profonde des Monts de Mirkwood... »
Comment vous dire que cette histoire me fait trembler de peur rien quà en évoquer la première phrase Cest terrible à dire, mais certains on dit, et il est bien des cas où cela se vérifie, quil est des secrets quil vaudrait mieux ne jamais révéler
Je reprends donc
« Dans une caverne sombre et profonde des monts de Mirkwood se trouvait il y a fort longtemps, caché dans les coteaux enneigés des falaises abruptes protégeant dans des pentes à flanc de roche dure, le domaine de Nîmdûr le Pic Effroyable, Pic le plus traître de tout le Rhovanion, une crevasse sans grand intérêt. A peine, plus petite que les autres, elle laissait passer un mince fil de lumière une à deux heures au matin, et pas plus durant toute la journée.
Quelques lapereaux des neiges y venait bien en escapade, ignorant les conseils de leur mère leur ordonnant de rester au terrier suite à la disparition de quelques uns de leurs frères partis dévorer les quelques perce-neige pointant aux abords du trou.
Dehors le sombre Mîndûr était la plupart du temps, et des temps calme, sauf de temps à autres en hiver où sa colère se déchaînait envoyant bouquetins, et chèvres sauvages se fracasser contre les cascades de glaces et les pierres acérées des ravins, et parois de ses six faces.
La légende dit, et je crois quelle dit vrai, suite à la mauvaise expérience que jai eu moi-même sur ces pics enneigés, quau temps ancien où les elfes et les hommes venus de louest sallièrent contre la menace du Seigneur des Ténèbres, il y eut une grande guerre dans cette forêt que lon nommait alors Vert-Bois le Grand. Ces montagnes était en ce temps là, un ce temps, la demeure dun Prince des elfes nommé Ringlind, le Seigneur des Cavernes, dont lorigine venait des Sindar de Beleriand qui sont de la parentèle du Roi Thranduil, que tu es bien trop jeune pour connaître mon bon Meriadoc, dit-il en tapotant la tête du jeune garçon.
Alors que celui-ci était engagé dans une guerre terrible lopposant sous un feu dément des orques en rage assiégeant sa forteresse, il envoya mander le Roi Ostoher de lui venir en aide. Voyant dans le ciel les nuages samonceler tout autour des pics enneigés du Glacier Principal, formant presque une Couronne à lEsprit Terrible et Monstrueux, Seigneur de la chaîne ténébreuse, il dit à Heoln , qui était, depuis peu de temps son chef de camp sen allait, les quittant pour un temps, pour gravir les immenses dangers, sentiers, et parois de glace, protégeant laccès de la caverne la plus au nord du grand pic implorer la clémence et le secours de lEsprit des Neiges.
Il gravit alors des falaises, passa sur des stalagmites surplombant des crevasses, et affronta des loups des neiges. Puis, enfin, il parvint après trois jours de voyage au sommet de la Montagne, et là durant une journée entière, il implora la clémence de Nîmdur.
Cependant, Nîmdùr est un esprit assez personnel, froid, dont le cur est aussi glacial que sa nature de glacier, aussi orgueilleux que la dureté de sa roche, égoïste, et nagissant que selon un intérêt qui lui est propre : le silence de la montagne et la protection de son plein pouvoir et de sa liberté. Ainsi, Nîmdùr refusa laide que Ringlind était venu lui demandée. Cependant, et pour uvrer, ne serait-ce que dune partie, dans le sens de lelfe, il fit la promesse solennelle de ne pas prendre position pour lune ou lautre des armée. »
« Et ensuite » Demanda Marcalion.
« Ensuite, et bien la suite Je ne men rappelles plus trop, mais ce qui est sûr, cest quau beau milieu de la bataille, alors que la victoire des elfes était éclatante, la montagne semporta et le glacier seffondra sous une terrible bourrasque de neige entraînant dénormes avalanches tuant les deux camps à la fois. La Montagne navait pas pris position en effet, mais Nîmdùr napprécies aucun être vivant à part lui, cest sûr ! »
Cest donc ici, dans ses pics enneiges, autrefois demeures des elfes, à lheure de mon histoire transformées, dénaturées, défigurées, et envahies par des armées des orques du Nécromancien que se trouve un petit lac assez froid et lugubre. La lumière y est sombre, car le jour ne se reflète dans la vase de leau quune infime partie du jour, et les algues qui sy trouvent, bleutées à lodeur étrange semblable à des champignons pourris la retienne pour en imbiber lair de toutes les galeries environnantes. Les orques de ces montagnes, bien quhabitués à la pourriture de leurs couloirs nempruntent jamais les petits escaliers qui montent à ce lieu.
De plus, une présence étrange sy trouve, la rendant inquiétante, et froide Il est des heures de la nuit, où soudainement le lac semble se mettre à bouillir, comme ressortant un trop plein de ses déjections internes. Une ombre mouvante lhabite. Une présence maléfique tournoyant sans arrêt tout autour de ce lieu et ne le quittant jamais, comme si le mal lui même y avait élu résidence.
Un secret des plus anciens et des plus enfouis au fond de la mémoire de milliers et de milliers desclaves soumis à la même volonté de la Puissance Maléfique, étriqué, essoré de leur conscience jusquà en enlever lessence, perdu, enfermé dans la plus puissante des males, dans le plus profond des cachots, dans la plus secrète des oubliettes, de sorte quaucune chance ne serait-ce infime nexiste den découvrir le contenu ne soit possible.
Des démons, oiseaux noirs et grands rapaces aux yeux de braises, ayant établis de nombreux nids noirs dans les falaises sud, voletaient de leurs grandes ombres, planant tels des espions dans le ciel, ne cessaient de scruter tous ces lieux à la recherche du détenteur du mystère.
L'Histoire de Naghiah
Un soir au coin dun feu de cheminée bien entamée dont les braises commençaient à assécher la belle bûche de son jardin, Perceval Took, un excentrique dans cette famille, (sil on eut peut dire quil en existe un que lon puisse mettre à part, sans dégager soudain un mouvement de jalousie déchaînant un feu dartifices incontrôlé de bizarreries, l un de ce clan qui soit plus étrange quun autre pour un hobbit), sirotait une tasse de thé et quelques friandises, tout en racontant une histoire ancienne à ses enfants.
« ...Dans une caverne sombre et profonde des Monts de Mirkwood... »
Comment vous dire que cette histoire me fait trembler de peur rien quà en évoquer la première phrase Cest terrible à dire, mais certains on dit, et il est bien des cas où cela se vérifie, quil est des secrets quil vaudrait mieux ne jamais révéler
Je reprends donc
« Dans une caverne sombre et profonde des monts de Mirkwood se trouvait il y a fort longtemps, caché dans les coteaux enneigés des falaises abruptes protégeant dans des pentes à flanc de roche dure, le domaine de Nîmdûr le Pic Effroyable, Pic le plus traître de tout le Rhovanion, une crevasse sans grand intérêt. A peine, plus petite que les autres, elle laissait passer un mince fil de lumière une à deux heures au matin, et pas plus durant toute la journée.
Quelques lapereaux des neiges y venait bien en escapade, ignorant les conseils de leur mère leur ordonnant de rester au terrier suite à la disparition de quelques uns de leurs frères partis dévorer les quelques perce-neige pointant aux abords du trou.
Dehors le sombre Mîndûr était la plupart du temps, et des temps calme, sauf de temps à autres en hiver où sa colère se déchaînait envoyant bouquetins, et chèvres sauvages se fracasser contre les cascades de glaces et les pierres acérées des ravins, et parois de ses six faces.
La légende dit, et je crois quelle dit vrai, suite à la mauvaise expérience que jai eu moi-même sur ces pics enneigés, quau temps ancien où les elfes et les hommes venus de louest sallièrent contre la menace du Seigneur des Ténèbres, il y eut une grande guerre dans cette forêt que lon nommait alors Vert-Bois le Grand. Ces montagnes était en ce temps là, un ce temps, la demeure dun Prince des elfes nommé Ringlind, le Seigneur des Cavernes, dont lorigine venait des Sindar de Beleriand qui sont de la parentèle du Roi Thranduil, que tu es bien trop jeune pour connaître mon bon Meriadoc, dit-il en tapotant la tête du jeune garçon.
Alors que celui-ci était engagé dans une guerre terrible lopposant sous un feu dément des orques en rage assiégeant sa forteresse, il envoya mander le Roi Ostoher de lui venir en aide. Voyant dans le ciel les nuages samonceler tout autour des pics enneigés du Glacier Principal, formant presque une Couronne à lEsprit Terrible et Monstrueux, Seigneur de la chaîne ténébreuse, il dit à Heoln , qui était, depuis peu de temps son chef de camp sen allait, les quittant pour un temps, pour gravir les immenses dangers, sentiers, et parois de glace, protégeant laccès de la caverne la plus au nord du grand pic implorer la clémence et le secours de lEsprit des Neiges.
Il gravit alors des falaises, passa sur des stalagmites surplombant des crevasses, et affronta des loups des neiges. Puis, enfin, il parvint après trois jours de voyage au sommet de la Montagne, et là durant une journée entière, il implora la clémence de Nîmdur.
Cependant, Nîmdùr est un esprit assez personnel, froid, dont le cur est aussi glacial que sa nature de glacier, aussi orgueilleux que la dureté de sa roche, égoïste, et nagissant que selon un intérêt qui lui est propre : le silence de la montagne et la protection de son plein pouvoir et de sa liberté. Ainsi, Nîmdùr refusa laide que Ringlind était venu lui demandée. Cependant, et pour uvrer, ne serait-ce que dune partie, dans le sens de lelfe, il fit la promesse solennelle de ne pas prendre position pour lune ou lautre des armée. »
« Et ensuite » Demanda Marcalion.
« Ensuite, et bien la suite Je ne men rappelles plus trop, mais ce qui est sûr, cest quau beau milieu de la bataille, alors que la victoire des elfes était éclatante, la montagne semporta et le glacier seffondra sous une terrible bourrasque de neige entraînant dénormes avalanches tuant les deux camps à la fois. La Montagne navait pas pris position en effet, mais Nîmdùr napprécies aucun être vivant à part lui, cest sûr ! »
Cest donc ici, dans ses pics enneiges, autrefois demeures des elfes, à lheure de mon histoire transformées, dénaturées, défigurées, et envahies par des armées des orques du Nécromancien que se trouve un petit lac assez froid et lugubre. La lumière y est sombre, car le jour ne se reflète dans la vase de leau quune infime partie du jour, et les algues qui sy trouvent, bleutées à lodeur étrange semblable à des champignons pourris la retienne pour en imbiber lair de toutes les galeries environnantes. Les orques de ces montagnes, bien quhabitués à la pourriture de leurs couloirs nempruntent jamais les petits escaliers qui montent à ce lieu.
De plus, une présence étrange sy trouve, la rendant inquiétante, et froide Il est des heures de la nuit, où soudainement le lac semble se mettre à bouillir, comme ressortant un trop plein de ses déjections internes. Une ombre mouvante lhabite. Une présence maléfique tournoyant sans arrêt tout autour de ce lieu et ne le quittant jamais, comme si le mal lui même y avait élu résidence.
Un secret des plus anciens et des plus enfouis au fond de la mémoire de milliers et de milliers desclaves soumis à la même volonté de la Puissance Maléfique, étriqué, essoré de leur conscience jusquà en enlever lessence, perdu, enfermé dans la plus puissante des males, dans le plus profond des cachots, dans la plus secrète des oubliettes, de sorte quaucune chance ne serait-ce infime nexiste den découvrir le contenu ne soit possible.
Des démons, oiseaux noirs et grands rapaces aux yeux de braises, ayant établis de nombreux nids noirs dans les falaises sud, voletaient de leurs grandes ombres, planant tels des espions dans le ciel, ne cessaient de scruter tous ces lieux à la recherche du détenteur du mystère.