Je suis bien content d'avoir pu assister à la présentation par Daniel Lauzon de sa traduction à Mollat : c'était fort intéressant en effet. J'ai pu lui dire rapidement que j'ai beaucoup apprécié sa traduction (même si j'ai seulement relu La Fraternité de l'Anneau jusqu'à présent). En parcourant le troisième volume acheté à l'occasion de sa venue à Bordeaux, je trouve son travail très satisfaisant. Je lis Tolkien en VO depuis longtemps (mais j'achète et lis aussi, quand j'ai le temps, les nouvelles traductions, notamment lorsqu'elles sont spécialement intéressantes en raison de la difficulté du texte, cf. les Lais du Beleriand) et pour moi, Lauzon parvient à proposer une très bonne traduction, qui offre une vision plus fidèle du texte.
Daniel Lauzon a fait référence à l'époque des premières communautés consacrées à Tolkien sur la Toile. Cela m'a rendu nostalgique et m'a ramené à mes années de collège, quand j'attendais avec impatience mon tour pour accéder à l'ordinateur familial et aller sur les sites spécialisés de ces temps-là !
Les francophones qui découvrent Tolkien par le biais des nouvelles traductions et dans le contexte d'un bien meilleur accès aux autres textes ont bien de la chance (même si je ne regrette en aucun cas le fait d'avoir dû me lancer très jeune dans la lecture de Tolkien directement en anglais, en raison de l'absence de traduction, bien sûr !).
Ces nouvelles traductions très soignées, qui témoignent d'une admiration pour Tolkien, sont un bon signe à une époque où les effets négatifs des tous derniers films de Jackson (The Hobbit) ont pu se faire sentir en France. Puissent-elles susciter l'émerveillement de nouvelles générations de lecteurs !
D. Lauzon a aussi précisé qu'une nouvelle traduction du Silmarillion n'était pas impossible : ce serait une bonne nouvelle.
Daniel Lauzon a fait référence à l'époque des premières communautés consacrées à Tolkien sur la Toile. Cela m'a rendu nostalgique et m'a ramené à mes années de collège, quand j'attendais avec impatience mon tour pour accéder à l'ordinateur familial et aller sur les sites spécialisés de ces temps-là !
Les francophones qui découvrent Tolkien par le biais des nouvelles traductions et dans le contexte d'un bien meilleur accès aux autres textes ont bien de la chance (même si je ne regrette en aucun cas le fait d'avoir dû me lancer très jeune dans la lecture de Tolkien directement en anglais, en raison de l'absence de traduction, bien sûr !).
Ces nouvelles traductions très soignées, qui témoignent d'une admiration pour Tolkien, sont un bon signe à une époque où les effets négatifs des tous derniers films de Jackson (The Hobbit) ont pu se faire sentir en France. Puissent-elles susciter l'émerveillement de nouvelles générations de lecteurs !
D. Lauzon a aussi précisé qu'une nouvelle traduction du Silmarillion n'était pas impossible : ce serait une bonne nouvelle.