12.01.2006, 18:16
Squall-Estel a écrit :Meneldur forever...Hé, j'ai rien fait moi ! Pour une fois...
Anglin> qui a dit qu'on ne parlait pas des Nains ? Y a des allusions disséminées dans tout le livre I, et elles mettent bien l'accent sur leur caractère errant :
Tolkien a écrit :- Ah, mais il est bien probable qu'il a ajouté à ce qu'il avait d'abord rapporté, argua le meunier, exprimant l'opinion commune. Il est souvent parti de chez lui. Et pensez à ces étrangers qui viennent le voir: des Nains qui viennent la nuit et ce vieux magicien errant, Gandalf, et tout ça. (chapitre 1, p. 38)
Le chariot était conduit par des étrangers, qui chantaient des chansons étranges : des Nains à longue barbe et à profonds capuchons. (chapitre 1, p. 39)
Ils sortirent dans le vestibule. Bilbon choisit dans le porte-parapluies sa canne préferée; puis il siffla. Trois Nains sortirent de pièces différentes où ils s'étaient affairés. (chapitre 1, p. 50)
Il y avait toutefois des Nains sur la route, en nombre inhabituel. L'ancienne route est-ouest traversait la Comté jusqu'a son extremité aux Havres Gris, et les Nains l'avaient toujours empruntée pour se rendre à leurs mines des Montagnes Bleues. Les Hobbits trouvaient chez eux la source principale de nouvelles des terres lointaines, s'ils en voulaient : en règle générale, les Nains parlaient peu, et les Hobbits n'en demandaient pas davantage. Mais à present Frodo rencontrait souvent des Nains de pays éloignés, qui cherchaient refuge dans l'ouest. Ils etaient inquiets, et certains d'entre eux parlaient a mi-voix de l'Ennemi et du Pays de Mordor. (chapitre 2, p. 60)
LAuberge de Bree était toujours là cependant, et laubergiste était un personnage important. Sa maison servait de rendez-vous aux oisifs, aux bavards et aux curieux parmi les habitants, grands et petits, des quatre villages ; et de lieu de séjour pour les Rôdeurs et autres errants, ainsi que pour les voyageurs (principalement des Nains) qui empruntaient encore la Route de l'Est pour aller vers les Montagnes ou en revenir. (chapitre 9, p. 174)
Etc.
The gods forgot they made me, so I forget them too
I listen to the shadows, I play among their graves
I listen to the shadows, I play among their graves