13.01.2021, 18:52
Il est difficile de choisir : "Le Désastre des Champ d'Iris", "Cirion et Eorl" ou "L'Expédition d'Erebor" sont tous d'excellents textes à mes yeux.
Toutefois, j'ai voté pour celui qui m'a le plus donné l'impression de découvrir le début d'un nouveau SdA, transposé au P.Â. : "De la venue de Tuor à Gondolin". La découverte de l'Annon-in-Gelydh, les salles désertes de Vinyamar, le face-à-face avec Ulmo, le passage des Sept Portes (et j'en omets) sont très grands moments.
Quel dommage que le récit s'interrompe précisément à la vue de Gondolin, comme si Tolkien ne se sentait pas apte à décrire une ville elfique dans toute sa grandeur après avoir donné les splendides descriptions de Caras Galadhon et de Minas Tirith, qui pourtant sont supposées être infiniment moins majestueuses que la légendaire ville de Turgon.
Toutefois, j'ai voté pour celui qui m'a le plus donné l'impression de découvrir le début d'un nouveau SdA, transposé au P.Â. : "De la venue de Tuor à Gondolin". La découverte de l'Annon-in-Gelydh, les salles désertes de Vinyamar, le face-à-face avec Ulmo, le passage des Sept Portes (et j'en omets) sont très grands moments.
Quel dommage que le récit s'interrompe précisément à la vue de Gondolin, comme si Tolkien ne se sentait pas apte à décrire une ville elfique dans toute sa grandeur après avoir donné les splendides descriptions de Caras Galadhon et de Minas Tirith, qui pourtant sont supposées être infiniment moins majestueuses que la légendaire ville de Turgon.
Rollant est proz e Oliver est sage.
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland
Ambedui unt merveillus vasselage :
Puis que il sunt as chevals e as armes,
Ja pur murir n’eschiverunt bataille.
— La Chanson de Roland