04.02.2020, 23:41
Voilà quelques propositions de correction. Je ne pense pas que ce sera suffisant – ni même que tout est exact.
D'abord :
- Supprimer l'article i (inutile dans le cas présent)
- Mettre cuivië au génitif pour indiquer l'origine de la musique.
Lindalë cuivieo : la musique de la vie
Ensuite, le verbe "résonner" pose effectivement problème. Après de longues et infructueuses recherches, je trouve anya, "atteindre, arriver à" (il a la même forme à l'aoriste, si je ne m'abuse). Par contre, on n'a aucun exemple d'utilisation. Je ne sais donc pas s'il se construit avec de l'accusatif ou avec de l'allatif (anya contient an-, "to, for"). Je mettrais, quoiqu'il en soit, "oreilles" au duel.
Donc, on a soit :
anya hlaru (si on part de l'hypothèse que le duel accusatif est identique au duel nominatif... )
anya hlarunna (allatif duel : c'est la solution que je privilégierais)
Pour la subordonnée, je propose de la construire de la manière suivante : aiquenwa (possessif de aiquen, quiconque) i (introduction de la subordonnée)
Après cela, il n'y a plus qu'à traduire "désire l'entendre" :
- Pour "désirer", on a or-, qui nuance un peu la phrase (la personne n'entend pas la musique du monde par un simple effort de volonté, mais parce qu'elle y est poussée, elle s'y sent poussée). L'aoriste donne orë. Là où le bât blesse, c'est que ce verbe se construit avec un datif... Donc le sujet de notre principale doit être au datif . C'est le point le plus dur. Pour le moment, je n'ai d'autre idée que bidouiller une terminaison dative à i (soit in) ou alors rajouter un pronom datif (sen) dans la subordonnée, ce qui est encore plus confus.
- "l'entendre" (sur le modèle de "orë nin caritas nó namin alasaila", VT 41, p. 13) : hlaritas.
Bref, si j'avais bon sur toute la ligne – ce qui n'est pas le cas, ça ressemblerait plutôt à :
Lindalë cuivieo anya hlarunna aiquenwa in orë hlaritas
C'est, en plus, sans tenir compte de la syntaxe, qui devrait sans doute être revue.
D'abord :
- Supprimer l'article i (inutile dans le cas présent)
- Mettre cuivië au génitif pour indiquer l'origine de la musique.
Lindalë cuivieo : la musique de la vie
Ensuite, le verbe "résonner" pose effectivement problème. Après de longues et infructueuses recherches, je trouve anya, "atteindre, arriver à" (il a la même forme à l'aoriste, si je ne m'abuse). Par contre, on n'a aucun exemple d'utilisation. Je ne sais donc pas s'il se construit avec de l'accusatif ou avec de l'allatif (anya contient an-, "to, for"). Je mettrais, quoiqu'il en soit, "oreilles" au duel.
Donc, on a soit :
anya hlaru (si on part de l'hypothèse que le duel accusatif est identique au duel nominatif... )
anya hlarunna (allatif duel : c'est la solution que je privilégierais)
Pour la subordonnée, je propose de la construire de la manière suivante : aiquenwa (possessif de aiquen, quiconque) i (introduction de la subordonnée)
Après cela, il n'y a plus qu'à traduire "désire l'entendre" :
- Pour "désirer", on a or-, qui nuance un peu la phrase (la personne n'entend pas la musique du monde par un simple effort de volonté, mais parce qu'elle y est poussée, elle s'y sent poussée). L'aoriste donne orë. Là où le bât blesse, c'est que ce verbe se construit avec un datif... Donc le sujet de notre principale doit être au datif . C'est le point le plus dur. Pour le moment, je n'ai d'autre idée que bidouiller une terminaison dative à i (soit in) ou alors rajouter un pronom datif (sen) dans la subordonnée, ce qui est encore plus confus.
- "l'entendre" (sur le modèle de "orë nin caritas nó namin alasaila", VT 41, p. 13) : hlaritas.
Bref, si j'avais bon sur toute la ligne – ce qui n'est pas le cas, ça ressemblerait plutôt à :
Lindalë cuivieo anya hlarunna aiquenwa in orë hlaritas
C'est, en plus, sans tenir compte de la syntaxe, qui devrait sans doute être revue.
Doctus cŭm libro
― Proverbe latin
― Proverbe latin