19.03.2004, 13:03
Voici la retouche ! Finalement, je reste sur 6 pieds, et des quatrains croisés, et non embrassés comme je le disais. Les rimes approximatives ont été reprises ! Bonne lecture !
Il était grand et beau
A la barbe de Roi
Debout sur son bateau
Fuyant la flotte en joie
Son grand heaume d'argent
Aux ailerons de cygnes
Flottait dans le bon vent
Laissant là les indignes
Il voguait droit vers l'est
Ses deux fils près de lui,
Sans un mot, ni un geste
Ils quittaient lîle de nuit
Destinée par Eru
A sombrer engloutie
Nûmenor disparue
Dans la mer en furie
Car les hommes mortels
Se prenant pour des dieux
Sarmèrent, infidèles
Au serment des aieuls
Le souverain périt
Des Conseils de Sauron
Lui-même fut ravi
Du sort d'Ar-Pharazon
Ainsi ont disparu
Les coteaux dAnduinë
Les nefs elfes perdues
Du port dEldalondë
Dans les grandes forêts
Des bois de l'Andustar
Sentait l'oiolairë
Les arbres des eldars
Au Sud le Laurinquë
A grappes de fleurs jaunes
A l'Erulaitalë
Etait pour Dieu aumône
Le peuple à l'occasion
Prie le Meneltarma
Loin des tendres passions
Des plages d'Eldanna
Et sur Armenelos
Les aigles de Manwë
Veillent depuis Elros,
Roi de Nûmenorë
Et sur ce beau pays
Dans le Nisimaldar
Les seuls Mallinorni
Donnaient de lOr au Tar
Les mares au Nindamos
Bâties sur pilotis
Endormaient mer et lune
Sable blanc, galets gris
Le Cheval et le Roi
Etaient des âmes soeurs
En tout possible endroit
Chevauchait un seul coeur
Car nulle sombre route
Et nul traître chemin
Ne semait alors doute
Dans la vie des Edain
Le Commerce était riche
De bagues et Pierreries
D'Etalons et pouliches
D'arbres et d'argenterie
Les colonies de l'Ouest
Devenues très prospères
Chassant Sauron sans reste
Dans ses noires frontières
Nulle arme n'était portée
En campagne ou en ville,
Par les civilisés
Humains de la grande île
Ainsi furent construits
Les navires et palais
Des Grands hommes hardis
Aux temps anciens de Paix
Guidant l'Entulessë
Elendil, du tréfonds
Fuyant l'Atalantë
Gagna à l'est Mithlond
Il était grand et beau
A la barbe de Roi
Debout sur son bateau
Fuyant la flotte en joie
Son grand heaume d'argent
Aux ailerons de cygnes
Flottait dans le bon vent
Laissant là les indignes
Il voguait droit vers l'est
Ses deux fils près de lui,
Sans un mot, ni un geste
Ils quittaient lîle de nuit
Destinée par Eru
A sombrer engloutie
Nûmenor disparue
Dans la mer en furie
Car les hommes mortels
Se prenant pour des dieux
Sarmèrent, infidèles
Au serment des aieuls
Le souverain périt
Des Conseils de Sauron
Lui-même fut ravi
Du sort d'Ar-Pharazon
Ainsi ont disparu
Les coteaux dAnduinë
Les nefs elfes perdues
Du port dEldalondë
Dans les grandes forêts
Des bois de l'Andustar
Sentait l'oiolairë
Les arbres des eldars
Au Sud le Laurinquë
A grappes de fleurs jaunes
A l'Erulaitalë
Etait pour Dieu aumône
Le peuple à l'occasion
Prie le Meneltarma
Loin des tendres passions
Des plages d'Eldanna
Et sur Armenelos
Les aigles de Manwë
Veillent depuis Elros,
Roi de Nûmenorë
Et sur ce beau pays
Dans le Nisimaldar
Les seuls Mallinorni
Donnaient de lOr au Tar
Les mares au Nindamos
Bâties sur pilotis
Endormaient mer et lune
Sable blanc, galets gris
Le Cheval et le Roi
Etaient des âmes soeurs
En tout possible endroit
Chevauchait un seul coeur
Car nulle sombre route
Et nul traître chemin
Ne semait alors doute
Dans la vie des Edain
Le Commerce était riche
De bagues et Pierreries
D'Etalons et pouliches
D'arbres et d'argenterie
Les colonies de l'Ouest
Devenues très prospères
Chassant Sauron sans reste
Dans ses noires frontières
Nulle arme n'était portée
En campagne ou en ville,
Par les civilisés
Humains de la grande île
Ainsi furent construits
Les navires et palais
Des Grands hommes hardis
Aux temps anciens de Paix
Guidant l'Entulessë
Elendil, du tréfonds
Fuyant l'Atalantë
Gagna à l'est Mithlond