Bienvenue igziabeher 
Je répondrai ici à igziabeher et à Andreth Endordil.
(Les mots entre crochets sont de moi)
Il n’est cependant pas en froid avec les Noldor. Par exemple, il invite « Finrod et sa sœur Galadriel » (→ Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor) à Doriath. (pour en savoir plus ou plus précisement ici
).
En plus, il fait c’est rêves troublant : il n’y pas que la trahison de certains humains qui pourrait le préoccuper, c’est quand-même un humain qui enverra sa propre fille dans l’antre de la mort [Beren] et c’est un humain qui causera la chute de Doriath et sa mort [Beren et Húrin] !
Lis le Chap. XIX du Silm. (la flemme d’écrire
).
Et « Thingol n'envoie que Beleg et Mablung » est erroné : ces elfes vont combattre de leur plein grès, et Thingol n’est pas trop pour…
Un petit détour par l’encyclopédie :
Il n’aimait pas trop les humains, mais il s’est aperçus qu’ils valaient plus qu’il ne le pensait, comme en témoigne sa conduite auprès de Beren (« par sagesse » il a changé d’avis) et envers Túrin, sa mère et sa sœur.
Pour les nains, c’est quand même eux qui construisirent (avec l’aide des elfes) Menegroth « le plus beau palais qu’un roi eut jamais à l’est de la Grande Mer. » (→ Le Silmarillion, Chap. X Les Sindar). C’est plus tard qu’ils se sont disputés, à propos du Nauglamír. [lire les Chap. X et XXII].
Avant, Thingol était le Seigneur des Teleri, c’est normal qui resta le Seigneur, le roi des Teleri qui n’ont pas continué vers Aman : les Sindar. Je ne me rappel pas qu’il soit écrit quelque part que Thingol se proclame le Prince du Beleriand…
La première Bataille du Beleriand, à lieu entre l’arrivée de Morgoth au Beleriand et l’arrivée des Noldor au Beleriand. Donc c’est pas « dès qu’ils arrivent », c’est « avant qu’ils arrivent » Morgoth vous tombe dessus… (Voir Chap. X).
Pour les nains et les hommes : c’est erroné ! (Voir plus haut).
L’anneau est attirant du fait qu’il a une volonté propre. Les Silmarils sont attirant du fait de leur beauté inqualifiable.
Alors je vise personne et c’est sûrement parce que je suis au bord de l’endormissement que je divague sur ce sujet, mais bon la prochaine fois, faites attention à ce que vous affirmez ‼
Sur ce, Bonne nuit :p

Je répondrai ici à igziabeher et à Andreth Endordil.
(Les mots entre crochets sont de moi)
(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : S'en suit la première bataille de Beleriand et les Sindar sont vainqueurs, bien que devant assumer de lourdes pertes. Suite à cette bataille apparaît l'Anneau de Melian qui protège Doriath. On voit ici, pour la première fois il me semble, apparaître la volonté de Thingol de se "couper" des terres extérieures à son royaume.
Citation :Quand le Roi Thingol retrouva Menegroth il apprit que l'autre armée des Orcs avait été victorieuse et avait repoussé Círdan jusqu'à la mer. Alors il rassembla tous ceux qu'il put trouver aux environs de Neldoreth et de Region et Melian utilisa son pouvoir pour encercler ce domaine d'un mur invisible et enchanté : l'Anneau de Melian. Nul ne pouvait le franchir contre son gré [i.e. celui de Melian] ou celui de Thingol, s'il n'avait un pouvoir égal ou supérieur au sien, à celui de Melian la Maia. Et ce royaume intérieur fut longtemps appelé Eglador, puis Doriath, la terre protégée, le Pays de l'Anneau. il y régnait une paix vigilante, mais au dehors c'était le danger et la peur. - Le Silmarillion, Chap. X Les Sindar ; C. Bourgois, 2004.Ainsi, Thingol n'est pas à l'origine de l'Anneau de Melian (même s'ils ont pu en discuter), c’est bien sa femme qui s’en occupe. De plus, le texte dit clairement que l'Anneau est là pour protéger et garantir la paix aux Elfes vivant à Doriath. Cette protection ne témoigne pas d'un repliement sur soi de la part de Thingol, il n’est pas fermé aux évènements qui se déroulent en Beleriand. Et, les elfes peuvent rentrer dans Doriath, comme c’est le cas par exemple d’Angrod ou pour ceux qui ont besoin du secours de Thingol (→ Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor).
(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Lors de l'arrivée des Noldor en Terres du Milieu, Thingol leur réserve un acceuil plutôt froid, n'acceptant en son royaume que les princes de la maison de Finarfin, liés à sa maison par le mariage de celui-ci avec Eärwen. Thingol ayant eu à faire à Morgoth lors de la première bataille de Beleriand, je trouve cela assez étrange qu'il réserve un acceuil peu chaleureux aux Noldor. Certes, il voit d'un mauvais oeil l'arrivée de nombreux princes venus de l'Ouest, mais lui qui pensait à la défense de son peuple doit également voir cette arrivée comme quelque chose de bénéfique dans sa guerre contre Morgoth, d'autant plus qu'à ce moment là, il n'est pas au courant du massacre d'Alqualondë et du serment de Fëanor.
Citation :Le Roi Thingol n'accueillit pas sans arrière-pensées la venue d'un si grand nombre de princes venus en force de l'occident pour se tailler de nouveaux fiefs. Aussi son royaume resta fermé, et l'anneau enchanté ne s'ouvrit pas, car, suivant le conseil de Melian, il pensait que Morgoth ne resterait pas longtemps inactif. - Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor ; C. Bourgois, 2004.Ce passage n'explique pas réellement les réticences de Thingol envers les nouveaux venus : les Noldor. Mais déjà, on apprend que si l'Anneau n'a pas disparu, c'est bien pour protéger le peuple de Thingol d'une prochaine attaque de Morgoth. Et là, il est clairement écrit "en suivant le conseil de Melian" : on est après la Première Guerre, elle ne perd pas son "influence". De plus, Melian n'est pas une "dictatrice", elle ne dicte pas des décisions à Thingol, elle lui donne des conseil et elle utilise son pouvoir de prévoyance (car c'est une Maia → Le Silmarillion, Chap. X Les Sindar) pour Thingol et son peuple.
Citation :Angrod, le fils de Finarfin, fut le premier des exilés à entrer dans Menegroth comme Ambassadeur de son frère Finrod [devenu roi des Nolodor comme indiqué un peu avant dans le livre], et il parla longtemps avec le Roi [i.e. Thingol, le roi de Doriath]. […] Le Roi, après l’avoir écouté, lui dit alors : « Voilà ce que tu diras de ma part à ceux qui t’ont envoyé. Les Noldor peuvent rester à Hithlum, dans les collines de Dorthonion et sur les terres incultes et inhabitées qui sont à l’est de Doriath. Partout ailleurs mon peuple est nombreux, et je ne veux pas les voir manquer d’espace, encore moins chassés de leurs demeures. Que les Princes de l’Ouest prennent garde à leur conduite, car je suis le maître de Beleriand et tous ceux qui veulent s’y installer ont à m’écouter. Nul ne viendra vivre à Doriath sauf ceux que j’inviterai et ceux qui me demanderons secours. » - Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor ; C. Bourgois, 2004.C’est là qu’on apprend pourquoi Thingol avait des réticences à la venue des Noldor ; il a un peuple à gouverner et à protéger. Il ne veut pas voir les Sindar exilé de leur propre chez eux. C’est tout à fait normal ! Là encore, on voit que Doriath n’est pas hermétiquement fermé : Des Elfes y habitent déjà donc la place qui reste sont pour les invités ou ceux qui ont besoin d’aide (car Thingol et bon et sage il ne va pas les laisser « crever » au dehors, ce sont ces frères quand même :p ).
(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Quand Fingolfin fait donner une grande fête (Mereth Aderthad, la Fête des Retrouvailles), Thingol n'envoie que deux messagers, Mablung et Daeron, alors qu'il est dit que nombreux Elfes Gris de Beleriand viennent à la Fête. Il semble que Thingol décide de lui-même d'isoler un peu plus son peuple des autres peuples Elfes.Je n'ai pas trouvé de citation expliquant l'absence de Thingol à Mereth Aderthad dans le chap. XIII où il en est question. Mais beaucoup « bon nombre d’Elfes Gris » (→ Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor) y étaient présent, or Thingol est le roi de tous les Sindar du Beleriand…. Donc il n’a pas interdits à son peuple d’y aller, et donc n’isole pas son peuple de leurs frères.
Il n’est cependant pas en froid avec les Noldor. Par exemple, il invite « Finrod et sa sœur Galadriel » (→ Le Silmarillion, Chap. XIII Le retour des Noldor) à Doriath. (pour en savoir plus ou plus précisement ici

(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Quand il apprend le massacre des siens à Alqualondë, Thingol est bien évidemment en colère contre les Noldor, et interdit l'usage de leur langage en Beleriand. Il garde cependant amitié envers la maison de Fingolfin, ce qui me paraît étrange dans la mesure où il n'a jamais semblé avoir quelconque relation avec cette famille (je me trompe peut-être à ce sujet). Cette décision apparaît logique, mais n'explique pas pour moi les précédentes décisions de Thingol vis-à-vis des Noldor, puisqu'il n'était alors pas au courant du massacre.
Citation :« Partez sur-le-champ ! » dit-il [Thingol s’adresse ici au fils de Finarfin, ses hôtes]. « Le cœur me brûle par trop. Plus tard vous reviendrez, si vous le voulez, car jamais je ne vous fermerai ma porte, à vous qui êtes de mon sang et qui avez été pris au piège d’un maléfice où vous n’aviez aucune part. je garde aussi mon amitié à Fingolfin et aux siens, car ils ont durement expié le mal qu’ils ont fait. - Le Silmarillion, Chap. XV Les Noldor à Beleriand ; C. Bourgois, 2004.À propos de la maison de Fingolfin qui a « durement expié le mal qu’elle a fait » : après le fratricide, la maison de Fingolfin et les enfants de Finarfin « osèrent affronter les terreurs d’Helcaraxë et le chaos des glaces. » (→ Le Silmarillion, Chap. IX La fuite des Noldor ; C. Bourgois, 2004) :
Citation :Les Noldor ne surpassèrent jamais l’exploit que fut cette traversée désespérée dans le malheur et la souffrance. Ils perdirent Elenwë, l’épouse de Turgon, et beaucoup d’autres périrent, et ce furent des rangs clairsemés qui touchèrent enfin les Terres Extérieures. - Le Silmarillion, Chap. IX La fuite des Noldor ; C. Bourgois, 2004.
(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Ensuite, lors de l'apparion des Humains en Beleriand, là encore, Thingol fait preuve à mon sens de bien peu de sagesse, refusant à tout Humain l'accès à Doriath tant que durera son règne. Cette décision est dans le livre justifiée par le fait qu'il ait eu des rêves concernant la venue des Humains qui l'aient troublé. Alors ici, clairvoyance vis-à-vis des Humains, dont une partie trahiront les Elfes lors de la cinquième Bataille ? Sachant que seules les trois familles des Edains sont présentes à ce moment dans l'histoire, et qu'il n'ait pas encore question d'autres Humains arrivant plus tard de l'Ouest, je trouve ici la réaction de Thingol surprenante, d'autant plus que les Humains ne sont pas mal disposés envers les Elfes à ce moment là, puisque nombre d'entre eux entrent aux services de princes Noldor.
Citation :Alors les rois des trois maisons des Noldor, dans l’espoir que les fils des hommes viendraient augmenter leurs forces firent savoir que ceux des Edain qui le souhaiteraient pouvaient venir vivre parmi eux. […] Il est dit qu’en tous ces événements Finrod Felagund fut le seul à prendre conseil auprès du Roi Thingol. Cela déplut au maître de Doriath, pour cette raison d’une part et parce que d’autre part il était troublé par des rêves concernant la venue des Humains depuis qu’il en avait entendu parler. - Le Silmarillion, Chap. XVII La venue des Humains dans l’Ouest ; C. Bourgois, 2004.Est-ce que c’est par manque de sagesse que Thingol avait dit aux Noldor qu’ils pouvaient occuper toutes les terres du Beleriand en laissant de l’espace aux Sindar et sans les chasser de chez eux ? Or les Noldor sans lui en parler (à par un seul : Finrod) accueillent les humains à bras ouverts. Mais il y aura-t-il de la place pour tout le monde ? Thingol est bien sage de se poser la question car s’il a prévenu les Noldor mais les humains feront-ils attention ?
En plus, il fait c’est rêves troublant : il n’y pas que la trahison de certains humains qui pourrait le préoccuper, c’est quand-même un humain qui enverra sa propre fille dans l’antre de la mort [Beren] et c’est un humain qui causera la chute de Doriath et sa mort [Beren et Húrin] !
(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Lorsque Beren vient en Doriath, il peut sembler légitime que Thingol ne lui réserve pas un bon accueil, puisqu'il ne porte pas les Humains dans son coeur, et qu'il n'accepte pas l'union de sa fille avec Beren. Il a cependant promis à Luthien de ne pas faire tuer Beren, et l'envoie à la mort avec sa requête, Beren devant ramener un Silmaril à Thingol. Cependant, je trouve la requête de Thingol fort surprenante. Il est alors au courant du Serment des fils de Fëanor et de la Malédicition qui plane sur eux, et il me paraît bien peu judicieux de sa part, alors qu'il s'est toujours tenu à l'écart des Noldor, de s'insérer ainsi dans leur Serment et la Malédiction. Certes, je pense qu'il annonce sa condition à Beren de manière légère, lui-même n'y croyant pas, mais il y'avait à mon avis d'autres moyens pour lui d'envoyer Beren "au casse-pipe". D'autant plus qu'il n'apparaît pas dans l'oeuvre, avant ce moment-là, un quelconque désir de Thingol pour les Silmarils.
Lis le Chap. XIX du Silm. (la flemme d’écrire

(07.12.2010, 15:31)igziabeher a écrit : Lors de la Bataille des Larmes Innimbrables, là encore, Thingol fait parler de lui par son absence. Alors que la plupart des princes Noldor entrent en guerre ouverte et déclarée contre Morgoth, et que même Turgon sort de Gondolin pour prêter main forte aux siens, Thingol n'envoie que Beleg et Mablung. Il refuse d'écouter Melian qui lui demande pourtant de céder le Silmaril aux fils de Fëanor, et amène ainsi Doriath à sa perte.
Citation :Rien ne vint de Doriath, ou presque. Maedhros et ses frères, tenus par leur serment, l’avaient pris de très haut avec Thingol, lui rappelant leurs exigences et ordonnant de leur rendre le Silmaril sous peine d’être leur ennemi. Melian lui conseilla de céder, mais les mots des fils de Fëanor étaient si pleins d’orgueil et de menace que Thingol fut pris de colère, se rappelant les souffrances de Lúthien et le sang de Beren dont le Silmaril avait été payé […]. Les seuls à venir furent Mablung et Beleg qui ne voulaient pas rester à l’écart de si grands événements. Thingol leur permit de partir… - Le Silmarillion, Chap. XX La cinquième bataille : Nirnaeth Arnoediad ; C. Bourgois, 2004.Alors déjà Thingol fait preuve de sagesse, il n’aimait pas trop les humains mais les exploits de Beren ont permis au Roi de voir de quoi étaient capable les humains. Il vient à aimer Beren, comme il aimera plus tard Túrin.
Et « Thingol n'envoie que Beleg et Mablung » est erroné : ces elfes vont combattre de leur plein grès, et Thingol n’est pas trop pour…
(07.12.2010, 20:56)Andreth Endordil a écrit : J'ai toujours pensé que Thingol est assez nombriliste : il se fait construire le Nauglamir, il pense que Beren n'est pas assez bien pour sa fille, il méprise les Humains et les Nains, s'autoproclame Prince de Beleriand... il devient clair qu'il a pris la grosse tête
Un petit détour par l’encyclopédie :
Citation :Le Nauglamír fut créé par les artisans des Montagnes Bleues, sans doute de Nogrod, pour Finrod Felagund
Citation :Le Roi fut pris de colères, car il aimait Lúthien par-dessus tout, la mettant plus haut que tous les Princes des Elfes, alors qu’il n’acceptait même pas les Humains à son service. […] « Ceux que j’aime et que je chéris par-dessus tout, je ne les vends pas, ni aux Elfes ni aux Humains. - Le Silmarillion, Chap. XIX Beren et Lúthien ; C. Bourgois, 2004.Je pense que ni un elfe ni un humains n’aurait été « assez bien pour sa fille ».
Il n’aimait pas trop les humains, mais il s’est aperçus qu’ils valaient plus qu’il ne le pensait, comme en témoigne sa conduite auprès de Beren (« par sagesse » il a changé d’avis) et envers Túrin, sa mère et sa sœur.
Pour les nains, c’est quand même eux qui construisirent (avec l’aide des elfes) Menegroth « le plus beau palais qu’un roi eut jamais à l’est de la Grande Mer. » (→ Le Silmarillion, Chap. X Les Sindar). C’est plus tard qu’ils se sont disputés, à propos du Nauglamír. [lire les Chap. X et XXII].
Avant, Thingol était le Seigneur des Teleri, c’est normal qui resta le Seigneur, le roi des Teleri qui n’ont pas continué vers Aman : les Sindar. Je ne me rappel pas qu’il soit écrit quelque part que Thingol se proclame le Prince du Beleriand…
(07.12.2010, 20:56)Andreth Endordil a écrit : Pour les Noldor, il a peut-être eut un pressentiment après tout, est-ce vraiment logique : des elfes n'ont plus eu de contact avec vous pendant des millénaires, quand il reviennent ils sont flous sur les raisons qui les ont poussés à revenir, ils exigent des terres et dès qu'ils arrivent Morgoth vous tombe dessus alors que jusqu'ici il c'était tenu tranquille !!Les Noldor n’exigent pas des terres ‼ C’est après entente avec Thingol qu’ils ont des terres qui n’étaient à personne. (Voir plus haut).
La première Bataille du Beleriand, à lieu entre l’arrivée de Morgoth au Beleriand et l’arrivée des Noldor au Beleriand. Donc c’est pas « dès qu’ils arrivent », c’est « avant qu’ils arrivent » Morgoth vous tombe dessus… (Voir Chap. X).
(07.12.2010, 20:56)Andreth Endordil a écrit : Il y a de quoi être un peu distant ! pour les Hommes et les Nains, je pense que Thingol le Magnifique les considèrent comme très inférieurs et non dignes de son attention.Je ne me rappel pas avoir lu quelque part « Thingol le Magnifique »…
Pour les nains et les hommes : c’est erroné ! (Voir plus haut).
(07.12.2010, 20:56)Andreth Endordil a écrit : Pour les Silmarils, n'importe qui les convoiterait et encore plus le Roi de Doriath ! Se sont des objets qui, comme l'Anneau sont très attirants, il représentent le pouvoir, ils ont "leurs volonté propre". Thingol c'est fait prendre au piège comme beaucoup d'autres.Pourquoi « et encore plus le Roi de Doriath » ? Ceux qui convoitaient les plus au monde les Silmarils, ce sont bien Morgoth et Fëanor…
L’anneau est attirant du fait qu’il a une volonté propre. Les Silmarils sont attirant du fait de leur beauté inqualifiable.
Citation :Et chaque fois qu’il [Thingol] regardait le Silmaril son désir grandissait de le garder toujours car, tel était le pouvoir du joyau. - Le Silmarillion, Chap. XX La cinquième bataille : Nirnaeth Arnoediad ; C. Bourgois, 2004.Je ne crois pas que les Silmarils aient une volonté propre, à confirmer.
(07.12.2010, 20:56)Andreth Endordil a écrit : ( Non, je n'aime pas trop Thingol, en effet )Eh bien, ce n’est pas parce que tu n’aimes pas quelqu’un que toutes ses actions doivent être remises en cause et que dès que cette personne fait quelque chose, c’est forcément une mauvaise chose. Il ne faut pas affirmer des propos si l’on n’est même pas sûr de les démontrer. Ça marche ici, mais aussi dans la vrai vie ; avoir des idées fixes sur quelqu’un (ou sur quelque chose) et tourner des propos de façon à ce que ça nous arrange, ne pas peser le pour et le contre et ne pas vouloir changer d’avis, surtout si on ne connait pas tout sur le sujet : ce n’est pas une marque de sagesse !
Alors je vise personne et c’est sûrement parce que je suis au bord de l’endormissement que je divague sur ce sujet, mais bon la prochaine fois, faites attention à ce que vous affirmez ‼

Sur ce, Bonne nuit :p