23.09.2010, 15:38
(Modification du message : 23.09.2010, 15:40 par Degolas Mortefeuille.)
Je ne pense pas qu´on puisse de parler de suicide dans le cas des elfes.
Les suicides en général impliquent une action préméditée et une responsabilité dans sa propre mort. Or, á ma connaissance, aucun elfe n´a commis un suicide « actif », c´est á dire, n´est jamais passé á l´acte, en empalant sur son épée ou en se jetant sur un bûcher. Cela semble plus être l´apanage des hommes.
Mais peut-on alors parler de suicides passifs, comme dans le cas d´une personne qui se laisse mourir de faim ? Cela supposerait que l´elfe en question peut empêcher leur mort. Il faudrait savoir si chagrin et le désespoir peuvent prendre une telle ampleur qu´il deviennent des "maladies de l´esprit" incurables qui emporteraient l´elfe sans qu´ils puissent y résister. Autrement dit, si l´elfe qui est mort, aurait pu survivre á son désespoir ? Je ne pense pas qu´on puisse faire de généralisations, car on peut trouver des exemples et des contre exemples. Ainsi Maglor qui avait vraiment tout perdu, a survécu a ses malheurs et s´en est allé errer sur les côtes de la Terre du Milieu ( mais peut être est-t-il finalement mort après avoir composer le Ñoldolantë ?)
Et dans le cas de Miriel, sa mort serait plutôt une fausse-couche. C´est la naissance de Feanor qui la tue. Mais je ne suis pas ensuite assez calé sur les Fëa and les hröa pour argumenter davantage.
Les suicides en général impliquent une action préméditée et une responsabilité dans sa propre mort. Or, á ma connaissance, aucun elfe n´a commis un suicide « actif », c´est á dire, n´est jamais passé á l´acte, en empalant sur son épée ou en se jetant sur un bûcher. Cela semble plus être l´apanage des hommes.
Mais peut-on alors parler de suicides passifs, comme dans le cas d´une personne qui se laisse mourir de faim ? Cela supposerait que l´elfe en question peut empêcher leur mort. Il faudrait savoir si chagrin et le désespoir peuvent prendre une telle ampleur qu´il deviennent des "maladies de l´esprit" incurables qui emporteraient l´elfe sans qu´ils puissent y résister. Autrement dit, si l´elfe qui est mort, aurait pu survivre á son désespoir ? Je ne pense pas qu´on puisse faire de généralisations, car on peut trouver des exemples et des contre exemples. Ainsi Maglor qui avait vraiment tout perdu, a survécu a ses malheurs et s´en est allé errer sur les côtes de la Terre du Milieu ( mais peut être est-t-il finalement mort après avoir composer le Ñoldolantë ?)
Et dans le cas de Miriel, sa mort serait plutôt une fausse-couche. C´est la naissance de Feanor qui la tue. Mais je ne suis pas ensuite assez calé sur les Fëa and les hröa pour argumenter davantage.