16.12.2009, 21:13
Cet essai a eu certes le mérite de me faire rire, mais voilà tout :/
" L'épisode de la traversée de la Moria est sans doute l'un des plus riches d'ambiguïté sexuelle de tout l'ouvrage, et c'est là qu'apparaît pour la première fois clairement le thème de la sodomie, qui deviendra ensuite peu à peu omniprésent. Il n'est guère étonnant que le code permettant de pénétrer dans la Moria soit "ami", il n'est pas non plus surprenant que ce soit Gandalf, ici dans le rôle du pédagogue grec, qui le découvre à ses jeunes compagnons. Qu'est-ce en effet que la Moria sinon un gigantesque anus, que nos héros ne vont pas se contenter de pénétrer mais qu'ils vont explorer jusqu'au plus profond. Un clien d'œil du Tolkien linguiste nous montre bien qu'il était au moins partiellement conscient de la folie de ce qu'écrivait le Tolkien auteur. Ce n'est pas par hasard qu'il appelle "Moria" ce long souterrain, cet intestin labyrinthique. En effet, de quoi d'autre nous parle-t-il que d'une folie grecque?
Mais la traversée de la Moria est aussi le moment où se déploie dans sa terrible ambiguïté la dialectique homosexualité/hétérosexualité qui sous-tend toute l'œuvre."
Mouais, faudra me ré-expliquer le rôle du pédagogue grec, je crois que ce passage est le point d'orgue du ridicule de cet "essai". -_-
" L'épisode de la traversée de la Moria est sans doute l'un des plus riches d'ambiguïté sexuelle de tout l'ouvrage, et c'est là qu'apparaît pour la première fois clairement le thème de la sodomie, qui deviendra ensuite peu à peu omniprésent. Il n'est guère étonnant que le code permettant de pénétrer dans la Moria soit "ami", il n'est pas non plus surprenant que ce soit Gandalf, ici dans le rôle du pédagogue grec, qui le découvre à ses jeunes compagnons. Qu'est-ce en effet que la Moria sinon un gigantesque anus, que nos héros ne vont pas se contenter de pénétrer mais qu'ils vont explorer jusqu'au plus profond. Un clien d'œil du Tolkien linguiste nous montre bien qu'il était au moins partiellement conscient de la folie de ce qu'écrivait le Tolkien auteur. Ce n'est pas par hasard qu'il appelle "Moria" ce long souterrain, cet intestin labyrinthique. En effet, de quoi d'autre nous parle-t-il que d'une folie grecque?
Mais la traversée de la Moria est aussi le moment où se déploie dans sa terrible ambiguïté la dialectique homosexualité/hétérosexualité qui sous-tend toute l'œuvre."
Mouais, faudra me ré-expliquer le rôle du pédagogue grec, je crois que ce passage est le point d'orgue du ridicule de cet "essai". -_-