Oh ! Je n'avais pu lire l'intervention accueillante d'Alcarhatal...
Merci également à toi,
Effectivement, cela ne veut pas dire grand chose (ou alors le sens m'échappe) mais cela "sonne" bien !
Je trouve ce lieu partagé ici, passionnant : hier encore, j'ai pu suivre et lire le fil d'un sondage où certains d'entre-vous développiez avec une grande finesse, ce qui vous manquait (ou pas) dans l’œuvre de Tolkien et j'en ai apprécié la saveur de chaque mot...
Comme vous êtes nombreux, j'apprécie donc d'apprendre à vous connaître en vous lisant, c'est certain... Et cela grâce à la qualité des mots de leurs sens, profonds...
Beaucoup plus tard dans la nuit, j'ai rejoins une paragraphe écrit par Jérome Sainton (un paragraphe de la Feuille de la Compagnie n°2) concernant le "marrissement d'Arda" et comment (avec bonheur selon moi) le terme de l'ancien français a été préféré aux autres pour traduire et englober tant le concept que les occurrences, déclinées dans le Conte...
Là, les langues sont des véhicules que l'on ne maitrise pas toujours bien...
Ce qui me fait incliner, en relation au livret qui devrait arriver, à garder à l'esprit, qu'en dépit du marrissement de notre monde, peu importe ce qui va arriver dans ma boite aux lettres, j'essaierai d'en saisir la substance immarriée
Voilà qu'il est l'heure de poursuivre en ligne ma lecture de Roverandum à ma petiote, donc je vous salue tous, chaleureusement...
Au plaisir de vous lire,
Isami
Merci également à toi,
Effectivement, cela ne veut pas dire grand chose (ou alors le sens m'échappe) mais cela "sonne" bien !
Je trouve ce lieu partagé ici, passionnant : hier encore, j'ai pu suivre et lire le fil d'un sondage où certains d'entre-vous développiez avec une grande finesse, ce qui vous manquait (ou pas) dans l’œuvre de Tolkien et j'en ai apprécié la saveur de chaque mot...
Comme vous êtes nombreux, j'apprécie donc d'apprendre à vous connaître en vous lisant, c'est certain... Et cela grâce à la qualité des mots de leurs sens, profonds...
Beaucoup plus tard dans la nuit, j'ai rejoins une paragraphe écrit par Jérome Sainton (un paragraphe de la Feuille de la Compagnie n°2) concernant le "marrissement d'Arda" et comment (avec bonheur selon moi) le terme de l'ancien français a été préféré aux autres pour traduire et englober tant le concept que les occurrences, déclinées dans le Conte...
Là, les langues sont des véhicules que l'on ne maitrise pas toujours bien...
Ce qui me fait incliner, en relation au livret qui devrait arriver, à garder à l'esprit, qu'en dépit du marrissement de notre monde, peu importe ce qui va arriver dans ma boite aux lettres, j'essaierai d'en saisir la substance immarriée
Voilà qu'il est l'heure de poursuivre en ligne ma lecture de Roverandum à ma petiote, donc je vous salue tous, chaleureusement...
Au plaisir de vous lire,
Isami