22.04.2020, 16:08
Tombé par inadvertance, ou presque, dans Le seigneur des Anneaux alors que j’étais (sic), encore bien jeune, je me délecte depuis à relire et rerelire l'œuvre du bon sir JRR Tolkien.
Un nom lui-même à la sonorité magique.
Heureusement, l’époque semble désormais lointaine où le simple fait d’admirer une telle œuvre vous faisait passer au mieux pour un rêveur solitaire, au pire pour un attardé culturel.
Eh oui, il ne faut pas sous-estimer la puissance du cartésianisme si chère aux Belles Lettres de France. René Descartes, lui-même, n’aurait pu imaginer que l’interprétation de sa pensée puisse créer durablement de tels dommages collatéraux auprès d’un public – français - souhaitant partir à l’aventure en compagnie de hobbits, nains, elfes et autres magiciens.
(je n’ose même pas évoquer les trolls et les orques )
Lentement mais sûrement, au détour d’un calendrier made in USA ou d’un portfolio édité chez HarperCollins, illustrés par Alan Lee, John Howe, Ted Nasmith mais aussi Franck Frazzeta, les frères Hidebrandt, Angus McBride, etc, la pop-culture a entamé sa révolution.
Jusqu’à ce qu’un certain Peter Jackson jette le pavé dans la mare et impose aux fameuses Belles Lettres (les autres aussi) l’existence littéraire et magistrale (c’est le cas de le dire) de son inspiration cinématographique.
Aujourd’hui, c’est au tour des linguistes, philosophes et journalistes de s’emparer de l’œuvre pour nous régaler de leurs propres analyses et faire rentrer à la BNF (avec tapis rouge, svp) une œuvre littéraire qui reste intemporelle et si émouvante.
Voilà, j’en ai terminé avec ma « présentation »
Ah oui, j’oubliais de dire que j'ai aussi la chance de vivre au cœur d'un petit massif alpin, secret et protégé, dont certains.es initiés.es se plaisent à nommer…La Comté
C'est dire.
Un nom lui-même à la sonorité magique.
Heureusement, l’époque semble désormais lointaine où le simple fait d’admirer une telle œuvre vous faisait passer au mieux pour un rêveur solitaire, au pire pour un attardé culturel.
Eh oui, il ne faut pas sous-estimer la puissance du cartésianisme si chère aux Belles Lettres de France. René Descartes, lui-même, n’aurait pu imaginer que l’interprétation de sa pensée puisse créer durablement de tels dommages collatéraux auprès d’un public – français - souhaitant partir à l’aventure en compagnie de hobbits, nains, elfes et autres magiciens.
(je n’ose même pas évoquer les trolls et les orques )
Lentement mais sûrement, au détour d’un calendrier made in USA ou d’un portfolio édité chez HarperCollins, illustrés par Alan Lee, John Howe, Ted Nasmith mais aussi Franck Frazzeta, les frères Hidebrandt, Angus McBride, etc, la pop-culture a entamé sa révolution.
Jusqu’à ce qu’un certain Peter Jackson jette le pavé dans la mare et impose aux fameuses Belles Lettres (les autres aussi) l’existence littéraire et magistrale (c’est le cas de le dire) de son inspiration cinématographique.
Aujourd’hui, c’est au tour des linguistes, philosophes et journalistes de s’emparer de l’œuvre pour nous régaler de leurs propres analyses et faire rentrer à la BNF (avec tapis rouge, svp) une œuvre littéraire qui reste intemporelle et si émouvante.
Voilà, j’en ai terminé avec ma « présentation »
Ah oui, j’oubliais de dire que j'ai aussi la chance de vivre au cœur d'un petit massif alpin, secret et protégé, dont certains.es initiés.es se plaisent à nommer…La Comté
C'est dire.