Je pense que Tolkien a des chiffres récurrents dans son œuvre, tout comme la Bible elle-même, mais je ne pense pas que chaque chiffre a une signification occulte précise et déterminée qui donnerait une nouvelle dimension à son travail, comme la numérologie peut le croire (pour n'importe quel œuvre/auteur au demeurant).
La récurrence du chiffre 3 (souvent lié aux éléments d'Arda, comme les Silmarils ou les Anneaux des Elfes), 7 ou 9 peut effectivement poser question et être soumise à interprétation, mais on est loin d'un code secret que Tolkien aurait manié, ce dernier disant justement haïr tout ce qui est de l'ordre de l'allégorie et de la symbolisation simpliste (cf. ses Lettres).
Plus généralement, je pense qu'on peut tomber d'accord sur le fait qu'interpréter Tolkien demande une certaine flexibilité, et échappe à tout mouvement outrancièrement systématisant (comme peut l'être la numérologie)
La récurrence du chiffre 3 (souvent lié aux éléments d'Arda, comme les Silmarils ou les Anneaux des Elfes), 7 ou 9 peut effectivement poser question et être soumise à interprétation, mais on est loin d'un code secret que Tolkien aurait manié, ce dernier disant justement haïr tout ce qui est de l'ordre de l'allégorie et de la symbolisation simpliste (cf. ses Lettres).
Plus généralement, je pense qu'on peut tomber d'accord sur le fait qu'interpréter Tolkien demande une certaine flexibilité, et échappe à tout mouvement outrancièrement systématisant (comme peut l'être la numérologie)
Doctus cŭm libro
― Proverbe latin
― Proverbe latin