Il y a peut être une hypothèse 3 qui pourrait s'expliquer par le fait que les deux cités n'ont pas connu leur apogée aux mêmes époques.
Si je ne me trompe pas, Fornost, forteresse ancienne de l'Arnor, mais forteresse seulement, n'est passée au statut de capitale de l'Arthedain qu'après la ruine d'Annuminas et la partition du royaume du Nord.
Du coup, le besoin de joindre les deux sites était sûrement moins grand que s'ils avaient eu une importance politique concomitante.
Par ailleurs Annuminas n'était - me semble-t-il - pas une cité militaire (EDIT et donc pas besoin de troupes, qui devaient être cantonnées en permanence sur les frontières de ce royaume très peu peuplé). Ni probablement une grande cité commerciale. Pas besoin de grands axes routiers, dans ce cas.
Les terres d'abondance (le futur Comté) étaient situées juste à son sud, sans besoin de passer par la rivière.
Mais il ne faut pas négliger l'importance que peut représenter la voie fluviale.
Dans notre propre antiquité ou notre Moyen-âge, une très grande partie des échanges passaient par les rivières. Et celles-ci, à une époque où les ponts étaient rares et ne concernaient que les grands axes routiers, étaient parsemés de passages par bacs.
Pourquoi pas cette formule, là où le Baranduin est encore une petite rivière ?
I.
Si je ne me trompe pas, Fornost, forteresse ancienne de l'Arnor, mais forteresse seulement, n'est passée au statut de capitale de l'Arthedain qu'après la ruine d'Annuminas et la partition du royaume du Nord.
Du coup, le besoin de joindre les deux sites était sûrement moins grand que s'ils avaient eu une importance politique concomitante.
Par ailleurs Annuminas n'était - me semble-t-il - pas une cité militaire (EDIT et donc pas besoin de troupes, qui devaient être cantonnées en permanence sur les frontières de ce royaume très peu peuplé). Ni probablement une grande cité commerciale. Pas besoin de grands axes routiers, dans ce cas.
Les terres d'abondance (le futur Comté) étaient situées juste à son sud, sans besoin de passer par la rivière.
Mais il ne faut pas négliger l'importance que peut représenter la voie fluviale.
Dans notre propre antiquité ou notre Moyen-âge, une très grande partie des échanges passaient par les rivières. Et celles-ci, à une époque où les ponts étaient rares et ne concernaient que les grands axes routiers, étaient parsemés de passages par bacs.
Pourquoi pas cette formule, là où le Baranduin est encore une petite rivière ?
I.