03.09.2016, 15:31
J'ai pris en compte tes pertinentes remarques, Hofnarr, et voici ce que donne la nouvelle version. Faites moi savoir si d'autres changements sont nécessaires
A tout jamais sur l’infini splendeur des cieux,
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda auréolée d'éclat a posées.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien aimé.
Tous deux dans la gloire, siègent avec sagesse,
fiers monarques sublimés, ornés d'allégresse.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
Impérieux souverains, aux cœurs bienveillants
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar restera bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca briller,
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini
Écoute, O Súlimo, le murmure du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
Roi vertueux et pur, à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda auréolée d'éclat a posées.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien aimé.
Tous deux dans la gloire, siègent avec sagesse,
fiers monarques sublimés, ornés d'allégresse.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
Impérieux souverains, aux cœurs bienveillants
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar restera bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca briller,
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini
Écoute, O Súlimo, le murmure du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
Roi vertueux et pur, à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.
"What dark design doth this portend?"