01.09.2016, 17:16
J'ai pris tes dernières remarques en compte Hofnarr (pour le coup de la virgule, il me semble bien qu'elle coupe le vers et du coup permet la prononciation du 'e', mais du coup j'avoue avoir un doute! A vérifier, en effet).
Bref, voilà ce que donne la nouvelle version. N'hésitez pas à me faire part de vos avis et remarques! Merci!
Bref, voilà ce que donne la nouvelle version. N'hésitez pas à me faire part de vos avis et remarques! Merci!
A tout jamais sur l’infini splendeur des cieux,
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda auréolée de gloire a posées.
Auprès de son époux, elle siège avec sagesse,
monarques sublimés, tous ornés d'allégresse.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien-aimé.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
Impérieux souverains, aux cœurs bienveillants.
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar restera bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca brillé
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini.
Écoute, O Súlimo, les ailes du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
Roi vertueux et pur, à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda auréolée de gloire a posées.
Auprès de son époux, elle siège avec sagesse,
monarques sublimés, tous ornés d'allégresse.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien-aimé.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
Impérieux souverains, aux cœurs bienveillants.
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar restera bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca brillé
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini.
Écoute, O Súlimo, les ailes du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
Roi vertueux et pur, à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.
"What dark design doth this portend?"