17.08.2016, 19:21
En ce qui concerne la discussion concernant 'the West', ce n'est pas la première fois que je rencontre le sujet en effet, et à juste titre! Je suis convaincue beaucoup d'interprétations sont possibles, et si j'aime beaucoup l'idée qu'il parle en effet de ses souvenirs du Beleriand, je pense que d'une manière ou d'une autre il fait plutôt référence à Aman, si ce n'est que pour le mot 'rest' qui renvoie souvent au Terres Immortelles. Après, on peut aussi très bien y voir une licence poétique, où ' the West' incarne le repos (spirituel et non physique) auquel il aspire et à travers lequel il espère retrouver Fimbrethil, encore une fois, de manière non physique mais spirituelle 
Sinon, voici ma contribution pour le poème sur Manwë et Varda!
Comme j'aime me compliquer la vie, je suis partie sur des alexandrins; si vous constatez des erreurs de métrique, n'hésitez pas à me le faire savoir.
Remarques, corrections et critiques sont toujours les bienvenues!

Sinon, voici ma contribution pour le poème sur Manwë et Varda!
Comme j'aime me compliquer la vie, je suis partie sur des alexandrins; si vous constatez des erreurs de métrique, n'hésitez pas à me le faire savoir.
Remarques, corrections et critiques sont toujours les bienvenues!
A jamais sur l’infini splendeur des cieux,
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda couronnée de lumière a posées.
Auprès de son époux, elle siège avec sagesse,
monarques sublimés, tous ornés d'allégresse.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien aimé.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
enamourés, désireux et bienveillants.
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar garde un goût bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca brillé
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini
Écoute, O Súlimo, les ailes du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
doux roi bienfaiteur à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.
brillent les étoiles et leur feu précieux,
joyaux du divin, incandescente beauté,
que Varda couronnée de lumière a posées.
Auprès de son époux, elle siège avec sagesse,
monarques sublimés, tous ornés d'allégresse.
Manwë au sceptre de saphir fut proclamé
aux confins d'Ëa comme son roi bien aimé.
Depuis l'aube des jours glorieux d'Almaren,
des prairies d'Aman au ciel de Cuivienen
ils portent sur Arda le regard des amants,
enamourés, désireux et bienveillants.
Non sans orgueil, ils furent confrontés aux leurres
et leur long règne à nul autre pareil demeure
bien que troublé par les flammes de leur colère,
et l'ire des Valar garde un goût bien amère.
Vois, O Elbereth, le Valacirca brillé
que tu as, au loin, délicatement placé,
terrible menace pour le noir ennemi
Et promesse d'espoir pour les eruhini
Écoute, O Súlimo, les ailes du vent,
Par bourrasques, zéphyrs et froid blizzards soufflant,
que chants, louanges et grâces te parviennent,
doux roi bienfaiteur à la sagesse ancienne.
Pour qu'à jamais couronnant le Taniquetil,
larmes de leurs souvenirs perlant à leurs cils,
ils règnent, patients, en immortelle veille
Unis dans l’infini, créateurs de merveilles.