22.06.2014, 21:10
Cher Crayon-Volant,
Ton poème et ton formidable crobard m'ont donné le goût de m'amuser un peu.
Oh Imladris !
Ta vallée dont les chants rafraîchissent le feuillage
Ont attiré céans la course de mon attelage...
Et l'hydromel dont les vapeurs ont réchauffé mon cœur
Me fait courir vers toi, belle elfe de Fondcombe, plein d'ardeur.
Mais non ! Que vois-je ? dit, hébétée, la dame,
Ce fou d'illuminé s'en va plutôt perdre son âme...
Sans malice et amicalement !
Ing
Ton poème et ton formidable crobard m'ont donné le goût de m'amuser un peu.
Oh Imladris !
Ta vallée dont les chants rafraîchissent le feuillage
Ont attiré céans la course de mon attelage...
Et l'hydromel dont les vapeurs ont réchauffé mon cœur
Me fait courir vers toi, belle elfe de Fondcombe, plein d'ardeur.
Mais non ! Que vois-je ? dit, hébétée, la dame,
Ce fou d'illuminé s'en va plutôt perdre son âme...
Sans malice et amicalement !
Ing
L'esprit devient ce qu'en font les pensées, car les pensées de quelqu'un déteignent sur son âme. Marc-Aurèle (121-180)