15.12.2013, 22:31
(Modification du message : 15.12.2013, 22:49 par Crayon Volant.)
C' est une science à plusieurs aspects, qui échappent justement comlètement à l' analyse (les lois d' analogie par exemple - à ne pas confondre avec des associations d' idées, i.e. la pure spéculation). Un autre aspect est celui du son et de ses vertus, lui aussi échappant à la démarche analytique que tu décris ci-dessus.
Il ne servirait de rien de connaître les anciennes croyances des Germains pour éclairer ce sujet.
Cette science les dépassait déjà et s' est justement dégradée en une "runologie populaire" comme tu l' appelles. Rares étaient les chefs, les Druides qui conservaient un enseignement sans tâches. Enseignement que seulement quelques individus sur toute l' Europe sont allé chercher en Egypte, je prends le risque de le préciser.
PS: les ancien Egyptiens n' étaient justement pas friands de la démarche analytique grecque, et là il faut voir du côté d' un certain Aristote pour ses méfaits (se réclamant de l' initiation de son maitre tout en trahissant son enseignement, si je me souviens correctement). Nous avons depuis en Occident, une mentalité forgée sur ce modèle.
A côté pour ce qui est d' avoir des références et de croiser les sources je suis d' accord. Mais il faut les élargir aussi à des domaines annexes. Un peintre apprendra beaucoup en collectant les informations dans le domaine de la peinture, mais il fera des découvertes innatendues et hautement pratiques en allant voir aussi chez les verriers, rois de la chimie des couleurs.
Il ne servirait de rien de connaître les anciennes croyances des Germains pour éclairer ce sujet.
Cette science les dépassait déjà et s' est justement dégradée en une "runologie populaire" comme tu l' appelles. Rares étaient les chefs, les Druides qui conservaient un enseignement sans tâches. Enseignement que seulement quelques individus sur toute l' Europe sont allé chercher en Egypte, je prends le risque de le préciser.
PS: les ancien Egyptiens n' étaient justement pas friands de la démarche analytique grecque, et là il faut voir du côté d' un certain Aristote pour ses méfaits (se réclamant de l' initiation de son maitre tout en trahissant son enseignement, si je me souviens correctement). Nous avons depuis en Occident, une mentalité forgée sur ce modèle.
A côté pour ce qui est d' avoir des références et de croiser les sources je suis d' accord. Mais il faut les élargir aussi à des domaines annexes. Un peintre apprendra beaucoup en collectant les informations dans le domaine de la peinture, mais il fera des découvertes innatendues et hautement pratiques en allant voir aussi chez les verriers, rois de la chimie des couleurs.