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~ Le rôdeur ~*
#1
À grand pas, il avance,
À grand pas, dans la nuit.
Sous la lune qui luit
Oubliant sa chevance.

Il cogna de sa verge
Le panneau de la porte
Demandant de la sorte
À entrer dans l'auberge.

Pourquoi donc ce lieu ?
Que cherche-t-il ici,
L'esprit sans facétie
Brillant au fond des yeux.

Ça grouille à l'intérieur
On rigole, on se gausse,
Si fort à toutes sauces
Pour son ouïe de rôdeur.

Une table en retrait
Tout près de la fenêtre
Celle donnant sur l'aitre
L'accueille avec attrait.

Sur une chaise, assis
Une chope à la main
Sans penser à demain
Il a l'air aminci.

Par de longues bouffées
Il tire sur sa pipe ;
Sur son dos quelques nippes
Pour ne pas s'esbrouffer.

Dans son champ de vision
Vinrent quatre personnages,
Des hobbits au jeune âge
Captant son attention.
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#2
Wink 
Le premier, pas bien grand,
Etait un chenapan,
Un fier histrion Touque.

Le second, plus costaud,
Gaillard et nobliau,
Un digne Brandebouc.

Suivait un jardinier,
Solide casanier,
Fidèle et terre-à-terre.

En fin de compagnie,
Un hobbit plus rassis
Au noble caractère.
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#3
Bien vu Daeron pour ce texte. D'autant que j'apprécie beaucoup le rôdeur.
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