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This is the end, my friend...
#1
La fin du SdA est somme toute heureuse: couronnement du roi, défaite du mal, etc.
Cependant, Tolkien n'aurait-il pas tenté de vendre la mèche sur la fin du roman presque dès le début?

SdA, II, 3, p.303 éd. du centenaire:

[Bilbon]Que penserais-tu de m'aider dans la confection de mon livre? As-tu pensé à une fin?
[Frodon]Oui, j'en vois plusieurs, et toutes aussi sombres que désagréables.
[Bilbon]Oh, ça ne fera pas l'affaire. Les livres doivent avoir une fin heureuse.
The gods forgot they made me, so I forget them too
I listen to the shadows, I play among their graves
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#2
Tu sais, rien qu'en lisant le prologue tu peux savoir que le bien va finir par gagner : On parle de traités de Meriadoc Brandebouc, d'une région donnée aux hobbits par le roi elessar,...
A mon avis, qu'un tel livre se termine mal n'aurait aucun sens, pourquoi donner une mauvaise fin à un monde totalement imaginaire ? Ca se pourait, mais aurait moins de sens à mes yeux.
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#3
Le SDA n'est pas un monde imaginaire, il n'est qu'une histoire dans un monde imaginaire. Ou meme encore mieu une histoire dans un monde reel se deroulant dans le passe de notre terre, car Arda est la Terre.

on peut toute fois imaginer une fin malheureuse ou Sauron reprends son bien domine tout le monde reigne en tirant puis comme a la fin du 2A Eru se fache et l'envoi petre loin loin jouer avec Melkor et tout recommence.

Mais bon, comment peut on imaginer tout ces heros apres de si glorieuses avantures se faire defaire a deux doigts de la reussite. trop frustrant
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