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Texte - Faramir en Ithilien
#1
J'ai commencé à écrire une histoire, qui se déroule durant le Seigneur des Anneaux, mais durant une période qui n'est pas du tout décrite : l'histoire se situe après que Bilbon aie quitté la Comté, mais avant que Frodon ne parte pour la Quête. Le personnage principal en est Faramir, accompagné de ses hommes (pour le moment). La suite viendra sûrement bientôt, petit à petit. Je n'ai pour l'instant pas vraiment d'introduction comme telle, je vais y travailler plus tard.




Faramir, qui avait affaire en Ithilien avec quarante de ses hommes, balaya l'ouest du regard, à la recherche de signes de l'Ennemi. Il vit une forme grise se mouvoir rapidement dans le lointain et s'en détourna.

"Capitaine!" lui dit un de ses hommes. "Une ombre se déplace à grande vitesse vers l'ouest; elle semble venir de Minas Tirith. Qui pourrais-ce être, qui se promène au Gondor sans la permission de l'Intendant?"

Faramir posa son regard sur son homme.

"Vous avez l'oeil perçant, Gildor fils de Galdon. Peu d'entres vous l'avez remarquée. Mais il n'y a pas là matière à inquiétude. Cette ombre filant vers l'ouest est celle du Gris Pèlerin, avec lequel j'ai pu m'entretenir il y a deux jours. Grande fut son inquiétude lorsque je lui appris que les Orques ont tenté de prendre Osgiliath; car nous avons perdu de nombreux hommes, trop. C'est en ce moment son grand soucis: le pouvoir des hommes s'affaibli de jour en jour."

Faramir regarda Gildor, puis tourna son regard vers l'ouest, cherchant de ses yeux gris l'ombre de Gandalf. Il reposa son regard sur l'homme.

"Mais ne perdons pas espoir! L'Ombre périra un jour...oui, un jour. Mais la grande bataille n'est pas passée encore. Ce doit être une question d'années. Quittons ces lieux, continuons notre reconnaissance."

Mais en quittant l'énorme rocher sur lequel il se tenait debout, un cri aigu se fit entendre dans les airs, à la limite de l'ouïe. Faramir se boucha les oreilles d’un geste sec. Gildor, qui se tenait à côté de Faramir, après que le cri se soit éteint, dit à ce dernier, à voix basse:

"C'était un des Nazgûl, Capitaine. Quel cri horrible! Il vous glace le coeur et vous enlève l'espoir, quelque peu faible qu'il soit déjà. Le cri semblait venir du nord."

Sans dire mot, Faramir se leva et retourna sur le rocher; au loin dans le nord, il aperçut une forme noire se mouvoir vers l'ouest, longeant l'Anduin à l'endroit où il coulait d'ouest en est. Et l'ombre disparut. Faramir s'accroupit et rampant presque, retourna vers Gildor, autour duquel tous ses hommes s’étaient rassemblés, regardant leur Capitaine avec épouvante.

Il dit comme pour lui-même:

"Ainsi peut-être avons-nous été abusés; peut-être la première forme n'était-elle pas celle de Mithrandir après tout. Ce point m'est obscur, et pourtant mon coeur n'en est pas trop alourdi."

Il y eut une pause dans ses paroles.

"Quoiqu'il en soit, la forme du Nazgûl semblait se mouvoir plus rapidement que la première, et semblait tenter de la rattraper; pourtant elle ne se dirigeait pas directement vers la première."

"Redoublons de vigilance. Ces terres sont peu sécuritaires, surtout depuis que nous savons que peut-être d'autres Nazgûl se promènent en Ithilien. Allons-nous en en silence, sans le moindre bruit."

***

Faramir en compagnie de ses hommes continuèrent leur reconnaissance vers le nord de l'Ithilien, en ne faisant aucun bruit susceptible de les démasquer. Derrière eux, la forêt leur cachait la vue d'Osgiliath.

Après un jour de marche, le soir, Faramir entendit des voix s'élever derrière une petite colline, sur la rive est de l'Anduin. Il s'avanca furtivement vers les voix, et il perçut à sa droite un bruissement: un de ses hommes avait également entendu et se dirigeait lui aussi vers la colline, en rampant. L'homme chuchota à Faramir, à peine perceptiblement:

"Ce sont des Orques du Mordor, Capitaine. Aucun signe de Nazgûl. J'ai envoyé plusieurs hommes les entourer, vingt sont maintenant postés et prêt à attaquer sans leur laisser la moindre chance d'évasion. Nous avons convenu que le signe d'attaque serait le sifflement d'un oiseau; comme ils se font rares ici, à cause de l'Ombre de Sauron, nos hommes sauront que c'est vous."

Faramir posa son regard dans l'obscurité afin d'apercevoir l'ombre de son compagnon. Il chuchota:

"Combien sont-ils?"

"Ils ne sont qu'une douzaine, mon Capitaine, et légèrement armés; à la lueur de leur feu nos hommes ont pu également voir que leur méfiance est moindre. Ils ne se doutent pas que la mort les guettent!"

Les deux hommes rampèrent alors jusqu'au sommet de la colline, où Faramir crut apercevoir à quelques mètres de lui plusieurs de ses hommes, arc et flèche encochée à la main, attendant le signal.

***

Il faisait nuit et les hommes de Faramir avaient en joue les Orques qui ne se souciaient pas du danger dans lequel ils étaient. Au grand étonnement de Faramir, deux des Orques conversaient en Langue Commune, de sorte que tout en les regardant, il écouta leur conversation, car un mot en particulier le frappa: Nazgûl. Une voix dit:

"Allez! Assez de repos! Nos hommes sont déjà rendu bien loin, à leur qu'il est, ils ont peut-être même passé la lisière de Fangorn. Quoiqu'il en soit, nous devons les rattraper; les Dresseurs de Chevaux rôdent partout dans leur pays et nos hommes auront certainement besoin d'une douzaine d'épée de plus. Le Nazgûl nous a prévenu de ne pas trop traîner dans les parages; et foi d'Orque, ne posons pas de questions et écoutons-le. Ces êtres - ces Nazgûl - me gèlent le sang."

L'autre Orque avec lequel il conversait dit:

"Silence, j'ai entendu un bruit!"

De fait, un petit bruit aigu se fit entendre: se semblait être un gazouillement d'oiseau. Faramir, après avoir écouté leur conversation, avait lancé le signal. Dans le noir, à la lueur de leur feu, il entendit le sifflement de flèches, dont la sienne, qui entra dans la chair noire de l'Orque qu'il avait entendu parler en premier.

À peine dix secondes plus tard, une douzaine de cadavres traînaient par-ci par là: tous avaient péri dans l'embuscade, la vitesse de l'opération étant due à l'élément de surprise que Faramir et ses hommes avait montré.

Ils et ses hommes empilèrent les cadavres de leurs ennemis et les firent brûler. Ils redoublèrent de vigilance dès cet instant, au cas où la fumée dégagée par la combustion attirerait d'autres de leurs ennemis. Mais aucun ne vinrent.
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#2
Citation :Ils et ses hommes empilèrent les cadavres de leurs ennemis et les firent brûler. Ils redoublèrent de vigilance dès cet instant, au cas où la fumée dégagée par la combustion attirerait d'autres de leurs ennemis. Mais aucun ne vinrent.

Correction: Ils empilèrent les cadavres de leurs ennemis[...]


Le texte n'est pas très élaboré ni descriptif...ce n'est qu'un début qui sera développé Wink
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#3
la suite ! la suite ! je le trouves très bien au contraire ! simple et clair ! suis un peu jaloux.
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#4
Il et ses hommes ? c'est correct je crois...
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#5
C'est plutot pas mal, je dirais meme que c'est bien, j'attends avec impatience la suite, c'est pas mal de montrer le cote "humain" des orques qui sont autant effrayes que les Hommes par le Nazgul, pour preuve tu as employe le meme terme, donc ca serait bien de developper ce cote la. Sinon c'est drolement bien et ca se lit tout seul.

Merry
p.s.:pour corriger la faute, tu pourrais faire editer (en haut a droite du message).
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#6
Citation :p.s.:pour corriger la faute, tu pourrais faire editer (en haut a droite du message).
Le bouton "éditer" n'était pas encore là lorsque je l'ai écrit...c'est vraiment nouveau je crois.
Citation :donc ca serait bien de developper ce cote la.
Développer....expliciter les sentiments des orques? Question
Et pour "ils et ses hommes", non, ça ne se dit pas, à moins que la langue française aie quelque peu évolué durant mes deux mois de vacances! Laughing
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#7
Jaloux? Mais jaloux de quoi?!! Shocked
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#8
Ce message est pour informer mes deux lecteurs intéréssés ( ou disent-ils tout ça juste pour m'encourager Shocked ) que je travaille sur l'introduction, et ce que vous avez lu précédemment sera retravaillé, très retravaillé, très décrit et tout. Ce peut prendre quelques temps avant le premier chapitre, car il risque bien de faire plusieurs pages de grandeur normale.
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#9
en fait j'ai vraiment beaucoup aimé ce que tu as écris et ton introduction est excellente. J'aime bien ton style simple et discret, et puis j'aime beaucoup le personnage de Faramir. Les dialogues sont très bien construits et articulés dans leur longueur: ni trop long, ni trop courts. Tu choisis des mots justes et percutants, comme toute l'embuscade qui est très bien décrite, de même que la partie avec gandalf qui chevauche de Minas Tirith et le Nazgûl. Tu as un écrit de récit de talent. Je le pense vraiment ! Et c'est beau le talent ! Alors continue !

... et puis la suite ! la suite ! c'est pour quand ?
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#10
Ah bah merci beaucoup...je suis content d'avoir fait tourné la tête d'au moins une personne! Wink Sinon pour la suite faudra attendre, j'ai commencé la réelle introduction, que je vais d'ailleurs poster dans ce message. Un peu plus descriptif, je referai les même passages, mais avec quelques différences, et surtout plus décrits; je ferai aussi de mon mieux afin de rendre crédibles les paroles, comme tu l'as dit. Donc voici le premier chapitre.


CHAPITRE 1 : L'ATTAQUE D'OSGILIATH

Le premier jour du mois de mars s’annonça, au crépuscule, semblable à ceux qui avaient précédé. Une ombre invisible se déplaçait lentement, venant du pays de Mordor, et étendait ses griffes froides sur le royaume de Gondor, toujours couvrant une plus grande superficie vers l’ouest. Les premières lueurs du jour vinrent percer le voile de cette ombre inquiétante; un épais brouillard absorbait infailliblement la lumière de cette journée encore jeune et se répandait lentement vers ce qui avait été l’ancienne cité d’Osgiliath, située sur le fleuve Anduin.
À l’ouest, à quelques lieues de là, majestueuse et puissante, se dressait la Cité Blanche, Minas Tirith, ancien et dernier vestige des grands Hommes de Numénor. L’aube, de sa douce lumière, lui donnait l’impression d’une extrême solitude, seule parmi la brume de l’Ombre et les dangers présents depuis quelques temps sur les terres de Gondor. D’autant plus que la Cité faisait face à l’est, face au pays de Mordor, seul endroit sur la Terre du Milieu aussi terrible et sombre, car son seigneur était Sauron le Ténébreux, le Maia Déchu.

Le matin s’écoula donc dans cette atmosphère d’inquiétude et de doute. La peur gagnait les cœurs du peuple de Gondor, et personne ne parlait dans la Cité. Car l’Ombre de Mordor, l’Ombre de Sauron, vint sur eux à nouveau, présage que dans un avenir proche, un événement important se produirait. Mais parmi les nombreux visages tristes et silencieux des gens de Minas Tirith marchaient côte à côte deux grands hommes, autant de taille que de renom, et ils étaient vêtus d’une cotte de maille et d’un heaume en mithril. Ils portaient tous deux un bouclier dont la face extérieure portait un arbre blanc à sept branches : l’arbre blanc de Minas Tirith, né d’un rejeton de l’arbre de Numénor, apporté en Terre du Milieu avant la submersion du puissant royaume des Dunedains.
Les deux hommes marchaient vers l’unique grande porte qui donnait accès au sixième Cercle à partir du sommet de Minas Tirith, et se dirigeaient vers les écuries de la Cité. Derrière eux, de nombreux gardes de la Citadelle les suivaient, épées dans les fourreaux. Les deux hommes de tête étaient les Capitaines de Gondor, Faramir et Boromir, les fils de l’Intendant Denethor II, qui régnait sur le royaume en cette période du Troisième Âge du monde, et de Finduilas, morte prématurément alors qu’ils n’étaient encore que des enfants.

Quelques instants plus tard, les deux Capitaines passèrent la porte en mithril de la Cité Blanche en trottant sur leur monture, suivis de près par une centaine d’hommes armés d’une épée et d’un arc à flèche, eux aussi chevauchant à dos de cheval. Osgiliath devait être protégée des armées du Seigneur Ténébreux, car l’Intendant avait eu une vision dans la palantir, et les jours précédents indiquaient, par leur inexplicable tension et inquiétude, une attaque prochaine. Ainsi partirent Boromir et Faramir, défendre l’avant-poste de leur royaume, chevauchant à travers les plaines du Pelennor vers l’est embrumé et assombri.
La chevauchée fut courte et aucune parole ne fut échangée. Arrivés à Osgiliath par l’ouest, ils pénétrèrent dans le brouillard froid. De leurs yeux, perçant les ténèbres blanches, ils virent les premières ruines de l’ancienne cité se dessiner lentement. Leur aspect glaçait le cœur; tout était silencieux, d’un silence mortel, et d’un aspect inquiétant. Les ruines étaient maintenant plus proches, et l’on pouvait maintenant discerner ce qui fut jadis un mur qui protégeait la ville contre des attaques venant de Mordor et des serviteurs de l’Ombre. Les Capitaines et leurs hommes pénétrèrent alors dans l’enceinte d’Osgiliath; aucune vie ne semblait habiter ce lieu à l’aspect maintenant sombre et lugubre, car il avait été abandonné après qu’elle fut attaquée par les orques. Il n’y avait toutefois aucun signe d’ennemis, et ce n’en fut que plus inquiétant.
Ils avancèrent précautionneusement parmi les débris de pierre et de bois qui gisaient par-ci par-là, scrutant de leur regard attentif les ruines environnantes. La vue de ces ruines, anciennement de majestueux bâtiments, n’offrit à l’esprit des soldats qu’une profonde amertume envers l’Ennemi, et par la même leur donna du cœur au ventre.

Alors Boromir, fils de Denethor II, Capitaine de Gondor et homme de courage, posa pied à terre et fit ses ordres. Après ce faire, les hommes se mirent en devoir. Certains galopèrent jusqu’à la rive de l’Anduin, lequel longeait Osgiliath, afin de s’assurer qu’aucune embarcation ne pourrait être susceptible d’être utilisée par les forces de Sauron et de ses alliés. D’autres furent postés à des endroits stratégiques dans les ruines, et envoyaient un éclaireur toutes les heures aux capitaines afin de faire leur rapport de guet. Les autres, soit quelques dizaines de soldats, préparèrent à la hâte un poste de retraite en cas d’urgence, au cas où les forces ennemies prennent le dessus durant la bataille. Tout se fit avec le moins de bruit possible, afin de camoufler leur présence, mais surtout afin de pouvoir guetter efficacement, malgré le brouillard tenace de cette fin d’avant-midi.

[ Le chapitre n'est pas fini, puisque le titre en est "L'attaque d'Osgiliath"...j'ai tout de même posté pour le plaisir de CriCri Smile ]
P.S. Il est très possible que dans le texte se trouvent quelques anachronismes, et si vous en voyez, faites-le moi savoir!
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#11
Merci ! Dis-moi quelques petites questions... pour Osgiliath. Puisqu'il n'y a plus de pont (détruit en TA 2475) comment font tes personnages pour traverser le fleuve et vérifier qu'il n'y a pas d'embarcations cachées sur la rive est ?

Autre question personnelle, dans le premier texte, où se trouve Faramir et ses hommes ? Dans le nord de l'Ithilien ? A combien de distance de Cair Andros ?

Voilà quelques questions supplémentaires pour mieux me situer et me représenter l'histoire.
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#12
Une dernière question : les Forts de la Chaussée sont présentés comme les dernières places fortes en sortant d'Osgiliath à l'approche du Rammas, le cercle de murailles entourant Minas Tirith avec ses deux portes au sud et au nord. Qu'en est-il ? Tu n'en parles même pas.

Et juste une petite précision. Ils n'ont pas pensé non plus à protéger les quais de Harlond ? Il en pourtant fait question dans le SdA ? Mais ton récit ne s'y intéresse pas je crois.

Je garde quand même la question des Forts de la Chaussée qui pour moi sont très importants.
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#13
Enfin, car je t'aimes beaucoup, tu parles dans ton texte d'un mur protégeant des armées du Mordor. A l'Ouest ? L'Ombre vient de l'Est ? Non ? De Minas Morgûl tombée sous le règne d'Eärnur en TA 2050 ? Non ?

Et enfin, tu ne parles pas de la relation unissant les deux frères Boromir et Faramir. Il est dit dans l' Appendice A : "Cependant, les frères s'aimaient tendrement et il en avait toujours été ainsi, depuis leur enfance, car toujours Boromir vaait aidé et protégé Faramir. Et depuis lors, nulle jalousie ou rivalité ne s'était insinuée entre eux, que ce fut pour gagner la faveur de leur père ou la louange du monde. Faramir ne pouvait concevoir qu'il y eut au Gondor quelqu'un qui l'emportât sur Boromir, héritier de Denethor, capitaine de la Tour Blanche et Boromir pensait de même."
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#14
Je commencerai par ton dernier message. Je n'ai pas beaucoup décrit les personnages, ni leurs liens; tout le monde a lu le Seigneur des Anneaux. Don cil n'est pas nécéssaire de rajouter plusieurs paragraphes sur quelque chose que l'on connait déjà. J'introduirai au fil du texte des phrases par-ci par-là afin de mieux voir le lien qui a entre les deux personnages. Ensuite, pour les murs entourant Osgiliath...je ne sais même pas s'il y en avait jadis, faut dire que j'invente un peu, tout en restant le plus fidèle possible avec le SdA...sinon, des murs, faut pas juste en construire du côté d'où viennent la ou les menaces, non? Lors d'une invasion, on fait quoi? Ensuite, parle moi plus des Forts de la Chaussée...je n'ai pas connaissance de ce lieu...à moins que je n'y ai pas porté vraiment attention en lisant le SdA...les quais de Harlond aussi. Évidemment, ce nom me dit quelque chose, mais en ce moment, je ne le situe pas dans ma tête...c'est sûrement pour ça qu'ils ne sont pas dans le récit. Le pont détruit...je vais expliciter ce passage. Il y aura des embarcations pour emmener les hommes de l'autre côté. Bon, c'est simple, mais c'est réaliste.
Citation :Autre question personnelle, dans le premier texte, où se trouve Faramir et ses hommes ? Dans le nord de l'Ithilien ? A combien de distance de Cair Andros ?
Il y a un indice dans le texte, ou je dis: il regarda au nord et vit une forme se déplacer vers l'ouest, à l'endroit ou l'Anduin coulait d'ouest en est. Regarde ta carte du la Terre du Milieu...je dirais qu'ils se trouvent un peu un sud de Cair Andros.
Il y aurait aussi quelque chose qui pouurait m'aider: les distances. Quelqu'un pourrait me dire la distance entre deux points donnés, et je pourrai comparer le reste à cette distance (porportions). Exemple, je sais que c'est écrit dans le SdA, mais je ne me souviens plus où: distance entre Minas Tirith et Osgiliath.
Faut dire qu'il y aura des omissions, car je ne connais pas tout...et c'est bien normal ma foi.
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#15
Bon, après relecture, je comprends mieux moi aussi ce que sont les Forts de la Chaussée et le Mur Ouest. Il s'agit tout simplement de la continuité du Rammas (le mur encerclant les champs de Pelennor avec la porte nord et la porte sud de Gondor), et les Forts représentent la Défense de la Porte Est de l'enceinte de protection des Champs de Pelennor, à l'entrée d'Osgiliath, comme tu le précise...
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#16
Où as-tu lu ça? J'aimerais bien lire ce passage.
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#17
Les Références pour les Forts de la Chaussée et Osgiliath sont LIVRE V Chapitre IV.

Pour ce qui concerne le Harlond ( Har ~ Harad=sud en sindarin, Lond=port ; cf Mithlond, Edhellond.) je pense qu'il s'agit des ports qui se situent au sud de la Porte Sud du Rammas. C'est par là que rentrent Aragorn, Gimli, Legolas et la Compagnie Grise (Rôdeurs du Nord et les fils d'Elrond) lors de la bataille des Champs de Pelennor: LIVRE V Chapitre VI

Pour la référence au Rammas, on trouve des indications sur le passage de la Porte Nord dans la Chevauchée des Rohirrims qui utilisent un vieux sentier dans la montagne guidés par les Druedains pour contourner les armées de Mordor qui ont pris la forteresse de Cair Andros et surveillent le passage sur la Route principale entre le Rohan et le Gondor : LIVRE V Chapitre V
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#18
Gandalf ?? Où en est-tu ??
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#19
Avec les cours, j'ai lâché Sad En fait je n'avais pas vraiment d'idée précise lorsque j'ai commencé à écrire le texte, et je trouve que ça va pas. J'en ai recommencé une autre (ENCORE), mais toujours avec le même personnage principal, mais avec une structure plus établie, donc je me lasserai moins d'écrire...et oui, j'écris mais je fini rarement.

De là vient mon message demandant des informations sur l'Ithilien et Henneth Annûn, car le début de l'histoire débutera en grande partie dans ce coin. Si tu as, file-les moi Razz À part bien sûr les informations sur Tolkiendil (que j'ai consultées).
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#20
Salut gandalf le blanc !

J'ai lu ton histoire avec grand plaisir, c'est bien écrit et ça a de la gueule, si je puis me permettre Wink

Moi je t'encouragerai plutot a ecrire une nouvelle de "Fantasy" mais en te détachant de l'influence Tolkien et SdA........parceque je pense que tu a de la maîtrise niveau écriture.

Même si mon jugement est personnel et sans valeur car je suis pas ecrivain !! Wink


http://www.nirnaethmusic.com
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#21
Merci, je pense que tu peux te permettre! Razz Je parle bien sûr de:
Citation :J'ai lu ton histoire avec grand plaisir, c'est bien écrit et ça a de la gueule, si je puis me permettre Wink
Sauf que je n'ai pas l'intention de m'éloigner du monde de Tolkien Razz
Et je rigole pas, je n'ai vraiment pas le goût de m'en éloigner pour écrire le texte...tu dis toi-même que tu as bien aimé, donc pourquoi pas continuer? Wink

Heu... Shocked Tu parles de quel texte? Le premier, ou le deuxième?
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#22
Gandalf le Blanc a écrit :Merci, je pense que tu peux te permettre! Razz Je parle bien sûr de:
Citation :J'ai lu ton histoire avec grand plaisir, c'est bien écrit et ça a de la gueule, si je puis me permettre Wink
Sauf que je n'ai pas l'intention de m'éloigner du monde de Tolkien Razz
Et je rigole pas, je n'ai vraiment pas le goût de m'en éloigner pour écrire le texte...tu dis toi-même que tu as bien aimé, donc pourquoi pas continuer? Wink

Heu... Shocked Tu parles de quel texte? Le premier, ou le deuxième?

le premier, mais le deuxième aussi me plait Exclamation

si tu te sens bien en ecrivant exclusivement sur le monde de tolkien alors faut pas lâcher Wink

http://www.nirnaethmusic.com
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