26.10.2016, 01:37
(25.10.2016, 22:39)Crayon Volant a écrit :(25.10.2016, 20:08)Hyarion a écrit : ...
Il finit ainsi par être difficile, à cette aune, de ne pas se sentir, hélas, un peu étranger à toute cette histoire, qui me parait être celle avant tout d'un fils extraordinairement attaché intimement à son père et à sa mémoire, finalement.
...
A mes yeux, en tant que simple lecteur et suiveur "à distance", C. Tolkien s' est vu hériter de l' "atelier artisanal" de son père, tout comme un fils de forgeron aurait repris le flambeau. Cet artisanat est celui d' un façonneur de contes et de légendes, en plus d' être soumis à une exigence particulière puisqu' il s' agit surtout d' un travail de restauration, et de finitions... Surement plus difficile que partir d' un nouveau départ.
C'est aussi un peu comme cela que j'ai tendance à voir les choses, sur un plan plus formel ou factuel... mais l'aspect intime et familial est cependant, sur le fond, ce qui me saute le plus aux yeux, et ce depuis longtemps.
(25.10.2016, 22:39)Crayon Volant a écrit : PS: tu as fait une erreur dans ton article JRRVF, Hyarion: "piété" filiale, et non "pitié".
Comme quoi, j'ai bien fait de m'autociter...
Merci pour la remarque : j'ai corrigé ici, et j'ai demandé à Cédric de faire de même sur JRRVF.
Amicalement,
Hyarion.
All night long they spake and all night said these words only : "Dirty Chu-bu," "Dirty Sheemish." "Dirty Chu-bu," "Dirty Sheemish," all night long.
(Lord Dunsany, Chu-Bu and Sheemish)
(Lord Dunsany, Chu-Bu and Sheemish)