comment se nomme la maison de Galadriel - Version imprimable +- Forum Tolkiendil (https://forum.tolkiendil.com) +-- Forum : Sujets divers... (https://forum.tolkiendil.com/forum-5.html) +--- Forum : Questions sur l'œuvre de Tolkien... (https://forum.tolkiendil.com/forum-29.html) +--- Sujet : comment se nomme la maison de Galadriel (/thread-2377.html) |
comment se nomme la maison de Galadriel - frodo baggins - 25.09.2005 Salut à tous, J'ai un petit oubli. Je sais que Elrond gouverne Fondcombe en Lorien. Mais Galadriel siège dans quel royaume? Dans la foret si mes souvenirs sont correctes, mais quel est le nom de ce royaume? Merci - Turb - 25.09.2005 Hum... Attention à ne pas tout mélanger, une petite relecture du Seigneur des Anneaux ne fera pas de mal. Pour ce genre d'informations, l'encyclopédie de Tolkiendil https://www.tolkiendil.com/encyclo possède toutes les réponses. Elrond est le seigneur de Fondcombe, et Galadriel est la dame de Lórien (attention à l'accent) : elle vit en son centre, à Caras Galadhon. - Gil-galad - 25.09.2005 Galadriel et Celeborn ne sont pas seigneurs de la Lórien, Frodo. Ils ont juste accepté de diriger le royaume sans dirigeant à la mort d'Amroth. - Turb - 25.09.2005 Plus exactement, si, il sont « seigneur et dame de Lórien » (Galadriel gouvernant), mais ils ont refusé le titre de « roi et reine », qui était celui d'Amroth. - Melian67 - 10.10.2005 qui était amroth déjà? - Belgarion - 10.10.2005 Ce n'est pas clariement défini. CLI III donne plusieurs explications possibles. JE préfère ne pas donner de détail en absence du livre à mes côtés - Gil-galad - 10.10.2005 Amroth, dans les Contes et Legendes Inachevés, était le fils de Amdír, et Roi de Lórien. Il partit chercher Nimrodel, sa bien-aimée, perdu dans un voyage, et se noya tragiquement dans la Baie de Belfalas. Après celà, Galadriel et Celeborn se mirent à diriger le royaume sans roi. EDIT ! arf j'ai écrit Amrod ^^ - Ilmarë - 10.10.2005 Amroth et non Amrod (Ah! les jumeaux de Fëanor ) a des origines multiples, fils de Amdír ou encore Malgalad, Elfes qui ne font peut-être qu'un, ou encore Galadriel et Celebron, rien n'est certains à son sujet. Je vais répéter ce qui fut dit plus haut mais pour se faire une idée ou un avis il vaut mieux plonger son nez dans le livre, de plus l'histoire et vraiment belle. - Gil-galad - 10.10.2005 Absolument d'accord ! Les CLI sont pleins de merveilleuses histoires ! Comme Aldarion et Erendis, Celebor et Galadriel et Amroth ! - Melian67 - 11.10.2005 merci à tous pour votre réponse! je n'ai malheureusement pas encore lu les CLI , je me rends compte en vous lisant que cela est nécessaire afin d'avoir une bonne vue d'ensemble du travail de tolkien. par contre j'accroche pas à l'histoire qui ouvre le livre, pensez-vous que je peux lire le reste en "sautant" le premier chapitre? - Ilmarë - 11.10.2005 Ce sont des récits extérieurs aux oeuvres, pas un livre qui comporte une histoire suivie, donc on peut par exemple, sauter le passage " De Tuor et de sa venue à Gondolin "sans que ca entrave la lecture du "Narn I Hîn Hurin" pour ce qui est du premier livre, comme pour les deux autres quoi qu'il en soit. Mais je trouve ça assez dommage. - Le Grand Cthulhu - 11.10.2005 D'accord, mais si ce sont des amas de notes, elles ont quand même une certaine cohérence... La geste des Enfants de Hurin peut ainsi très bien aller de pair avec La venue de Tuor à Gondolin. - Ilmarë - 11.10.2005 Je suis d'accord avec toi, mais pour répondre à la question de Melian, il est possible de ne pas lire l'un pour comprendre malgré tout l'autre. - Turb - 11.10.2005 Note, dans une lettre (gna !), Tolkien parle de « la reine Galadriel » Mais je pense que c'est un abus de langage de sa part. - Gil-galad - 11.10.2005 Petite question : dit-on "Narn I Hîn Húrin" ou "Narn I Chîn Húrin" ? Je trouve les deux :/ - Squall-Estel - 11.10.2005 Désolé, la tentation fut trop forte... "Mais le vers paradis des amours enfantines Est-il déjà plus loin que l'Hîn et que le Chîn?" (Calembour baudelairien ) - Dior - 12.10.2005 C'est Hîn, mais Tolkien avait des craintes quant à la prononciation anglophone, d'où le Chîn |